J’ai le sceau invisible, de la mort indicible
La marque indélébile de ma misère terrible
Ce n’est pas un reproche, d’y passer le fond de mes poches
Je ne sens que le regard, de l’humiliation qui décoche
Je ne fais que passer, je m’efface, je peine et je brasse
Dans tant de crasse
Le rejet m’examine, me condamne, me discrimine
Le rejet m’examine, me condamne, me discrimine
J’étais chez moi tranquille, j’allais prendre la file
De ceux qui comme moi ont cessé d’être servile
Tu as pillé ma terre, tu as semé le chaos
Tant que tu offriras l’enfer, l’enfer n’est pas que des mots
C’est de là où j’arrive, sous les ciels d’acier
Les gens meurent par millier, j’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
Le rejet m’examine, me condamne, me discrimine
J’ai cessé de compter
Le rejet m’examine, me condamne, me discrimine
Le rejet m’examine, me condamne, me discrimine
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
Le rejet m’examine, me condamne, me discrimine
J’ai cessé de compter
Le rejet m’examine, me condamne, me discrimine
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
Le rejet m’examine, me condamne, me discrimine
J’ai cessé de compter
Le rejet m’examine, me condamne, me discrimine
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter
J’ai cessé de compter, de compter, de compter, de compter
J’ai cessé de compter
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