Ô combien j'aimerais, chaque seconde
Être foutu de me dépasser
Toucher du bout des sens, le bout des mondes
Qui, c'est sûr, abondent en trésors cachés
Ô combien j'aimerais m'arracher à moi-même
Monter au créneau que çà puisse te faire marrer
Ici tout nous dépasse hormis nous-même
Comme autant de tâches
Dans leurs limites vautrées
Est-ce que le coeur reste de braise pour
S'enflammer
Se consumer
Enfin faire un truc nécessaire
S'enflammer
Comme autant de feux, comme autant de volontés
Comme quand l'amour palpite dans un courant d'air
Et dans les pires banlieues de l'âme
Il y a comme des sentiments
Des bagnoles qui crament
Sous-jacent, c'est sous-jacent
Cet espoir qui dégueule et chemine
Le long de tes poils hérissés
C'est pas les prix de camaraderie
Quand les camarades ne veulent
En goûter que l'usufruit
Et que le ver y est
Alors est-ce que le coeur reste de braise pour
S'enflammer
Se consumer
Enfin faire un truc nécessaire
S'enflammer
Comme autant de feux, comme autant de volontés
S'enflammer
Se laisser visiter Enfin faire un truc nécessaire
S'enflammer
Comme autant de feux, comme autant de volontés
Comme quand l'amour palpite dans un courant d'air
Ô combien j'aimerais m'arracher à moi-même
La brûlure souveraine
Et des nids de scorpions qui la ramènent
Hors de moi c'est la nuit qui remue
Hors de moi, c'est la chair fredonnée
Tuer les heures, me rejoindre et me dépasser
Est-ce que mon coeur reste de braise pour
S'enflammer
Se consumer
Enfin faire un truc nécessaire
S'enflammer
Comme autant de feux, comme autant de volontés
S'enflammer
Se laisser visiter
Comme autant de feux, comme autant de volontés
S'enflammer
Se consumer
Comme quand l'amour palpite dans un courant d'air
Ô combien j'aimerais m'arracher à moi même
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