Salive Street
Lalcko
paroles Lalcko Salive Street

Lalcko - Salive Street Lyrics

Je suis de l'époque où ceux qui ne savent pas déblatèrent
T'as vu
La salive des hommes puent
Même le silence s'est tu
Ceux qui savent ne disent plus
T'as vu
Amis ennemis ça fait longtemps que j'étais à l'école
J'ai l'impression que ça s'écrit pareil
Si tu ne peux pas me ranger
Il ne faut pas me déranger

Trahir pour trahir…

Demande à Wallah les dollars ce n'étaient pas notre Jehovah
Mais quand j'en avais dans mon putain de Teddy Old River
J'avais envie de dire à cette putain de live….I love ya
Ça voulait dire de nouvelles Tim Boots et des blues jean
Vas-y mets tes Nike Air on bouge
Bon avant passe la Heinekken que je touche
Ça c'était les nineteenth
Années où j'ai gouté à la vibe du disque plutard au mind du biz
Aux tailles du vice et aux girls ces bêtes de naïves
Celles qui peuvent piper même baiser pour un blunt de mporo
Deviennent sorcière comme Piper et Prue
Eh yo c'est donc très tôt que j'ai appris à foncer comme un taureau
L'esprit de Bolo Yeung dans un morning live version ghetto life
Je parlais de conscience nègre sur mes copies de philo
Mon stylo pour écrire la souffrance entassée dans vos yeux par kilo
Je ne dormais plus me réveillais saoûl avec la facilité de dire je m'en fous
J'ai voulu me ranger mais négro, la rue ne t'apprend pas le créneau
Puis vînt l'heure de la no school school
Trop de race pour crier au secours je coule
En parlant de moi ils ont commencé à dire il traîne il casse il ment
Il vendrait sa mère pour un jean ample
Certains avaient le coeur noir comme …je t'exempte d'exemples
A cette étape difficile de faire la différence entre la voix du sage
Et la langue de serpent
J'ai parfois été trop radical pour qu'on ne m'appelle pas l'allemand
Voila pourquoi la chaleur de mon regard s'étouffe dans la glace de mon visage
J'ai eu l'âge où on est un renard de surface comme Rummenigge
Attendu au lycée mais dans la rue à cabine téléphoniquer
Revendre des Telefunken unis comme Smith & Wesson
Mes alliés et moi parlions déjà de spreche
Tu te rappelles
La langue des grosses Mercedes
Finis le stress et la monotonie
T'as vu ces darling les berlines et toutes ces Breiltling
On avait compris que la rue n'était qu'un Monopoly
J'ai rêvé du monopole de Tony l'ai porté seul comme une mono folie
Les nègres m'appellent tellement d'idées que beaucoup d'argent
Il faut croire que ma mère faisait dans la création de richesse en m'enfantant
Jusque là tout allait mortel jusqu'à ce que mon 6e sens m'appelle mais bordel
Chuchoterait-on sur ma tête?
« Et mais Lalcko il se prend pour qui à vouloir jouer les chefs
La vie de ma mère je serre sa meuf oh
T'as vu son tarpé »
Les frères sont devenus faux comme 3+4 font 9 et nerveux
Quand tu cernais leur bluff
J'allais me faire trahir je voyais ça venir gros comme une maison d'arrêt
Il fallait que je saigne leur teuch
Ça n'a pas tardé ça a parlé batardé pataté et ballafré
Est-ce que je regrette? yo c'est louche!
Parfois je perçois le bien et le mal comme deux nuances du rouge
Qui ose me juger et dire que j'ai une sale vie
Je connais ma famille et mes amis
C'est pas ceux qui veulent que je boive quand ils crachent par terre
Espèce de fils de 4 putes par mère


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