Et quand le drap de lin s'immobilisait enfin
tout comme un parachute parachevant sa chute.
Ton corps plus bronzé que le mien.
La platine, l'ampli pas éteints.
Et nos cœurs doucement ralentissaient en même temps.
Tu saisissais soudain le drap que tu plaquais contre toi et :
- « Bouge pas, ne bouge pas, remue pas les draps, ne remue pas.
Bouge pas, ne bouge pas, respire pas par le nez, pas par le nez
J'ai pété ».
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