The Watcher's Monolith
Agalloch
paroles Agalloch The Watcher's Monolith

Agalloch - The Watcher's Monolith Lyrics & Traduction

La traduction de The Watcher's Monolith de Agalloch est disponible en bas de page juste après les paroles originales

Blue textures cascade downward to the base of the monolith
Like brush strokes on a canvas of souls
Two arms reach out a cloak of silent nihil
Revenants untouched by the scythe
They are lost in the dark woods of time

Aloft in the landscape that you hail
I am the fog that seeps over here in the early hours

Standing proud in the hollow of the land
A vestige of deeper purity etched in spirit against the sky

The menhir had runes carved in limbs of oaken sovereignty
and could see the ages growing from within the palms
I can feel the era slipping into oblivion,
no longer grasping the textures
I am slowly becoming stone

As wolves celebrate the dusk,
an old voice of wisdom haunts the vale

Shapes flicker in the fire light through the windows
The woodlands burn with grace
Their silence drowns the age

As wandering ghosts pass through the flames
A new age of rebirth lights the dawn

But who are they who pass by the window?
The shapes; like black solar wheels scorched in the snow
by gods of the stone...
This elder stone shall never fall!

Cast the aeons into the void
So that no other can seek them
No age, no hands shall taint them
Pour the sorrows into the sun
They are lost forever in dark woods of time
Carve the symbols into the stone
So that another can find them
No age, no hands shall change them
Pour the ages into the sun
They are lost forever in the dark woods of time




Traduction The Watcher's Monolith - Agalloch

Des textures bleues tombent en cascade au pied du monolithe
Comme des coups de pinceau sur une toile d'âmes
Deux bras atteignent un manteau d'un vide silencieux
Les revenants écartés par la faux
Ils sont perdus dans les sombres bois du temps

Au-dessus du paysage que tu salues
Je suis la fumée qui s'infiltre ici dans les premières heures

Je me tiens fièrement dans le creux du pays
Un vestige d'une profonde pureté gravé dans l'esprit contre le ciel

Le menhir a eu des runes sculptées dans les membres d'un chêne souverain
et il pourrait voir les âges pousser à l'intérieur les paumes
Je peux sentir l'ère se glisser dans l'oubli
ne saisissant plus les textures
Je deviens doucement de la pierre

Ainsi les loups célèbrent la poussière,
une vieille vois de sagesse hante la vallée

Des formes du feu scintillent à travers les fenêtres
Les bois brûlent avec grâce
Leur silence noie l'âge

Ainsi des fantômes vagabondent au travers des flammes
Un nouvel âge de renaissance illumine l'aube

Mais qui sont ceux qui passent par la fenêtre ?
Les formes ; telles des roues solaires noires brûlées dans la neige
par les dieux de pierre..
Cette pierre antique ne tombera jamais !

Jetons les éons dans le vide
Pour qu'aucun autre ne puisse aller les chercher
Pas d'âge, aucune main ne les entâche
Versons les souffrances dans le soleil
Ils sont perdus pour toujours dans les sombres bois du temps
Sculptons les symboles dans la pierre
Afin qu'un autre puisse les trouver
Pas d'âge, aucune main ne devra les changer
Versons les âges dans le soleil
Ils sont perdus pour toujours dans les sombres bois du temps


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