Je te l’ai dit dans « Y’a pas de mots », j’regrette ce que j’ai commis
Belleck à ta meuf si il me fait bander comme une momie
A force de trop m’amuser, ma vie devient une rature
Je devrais vivre dans un musée tellement j’finis en statue
Parait que j’suis un gamin, parait aussi que t’es mon gars sûr
J’irai gérer ta mère pour te montrer à quel point j’suis mature
Non j’rigole, ta mifa, c’est ma mifa
On est ensemble quoi qu’il se passe, je sais que la vie c’est pas cile-fa
Frère les soucis m’ont rongés, rongés à m’en rendre malade
Parait que j’descends du singe, j’confirme en leur mettant une banane
Big up à ceux qui viennent me voir en disant « psartek pas mal »
Moi c’est Volts Face vieux, le 7-5, j’suis Paname
J’écris des textes la night, j’rêve d’un bête d’appart’
Ma iv’ est illogique comme une michto qui déteste la maille
Et j’sais qu’au tieks ça parle mais j’irais jamais sucer
Ils croient que j’vise le succès alors que j’vise les étoiles
Le jour se lève, aujourd’hui j’veux de l’argent
Les keufs me poursuivent et moi j’poursuis mes rêves
Mais j’dors plus mon frère, j’ai fini par braquer l’marchand
J’vais finir par avoir un sourire sur mes lèvres
Vide la caisse, vide la caisse que j’puisse partir
Vide la caisse, vide la caisse que j’puisse partir
Vide la caisse, vide la caisse, y’en a marre de la tess
Si jamais j’pars j’veux plus y revenir
J’attends l’bonheur mais là j’relativise
J’ai souvent la tête en l’air parce que je sais que c’est de là-bas qu’il vise
L’amitié a toqué chez oim, elle m’a dit « j’suis qu’en visite »
Des fois j’aimerais avoir des ailes pour m’envoler loin d’ici
Partir loin, m’barrer avec la famille
J’ouvre les yeux j’suis à Paname, j’les ferme j’suis à Miami
Mais ça reste un rêve, nique les gens qui nous enferment
J’vois pas l’Sheitan pourtant j’ai l’impression de vivre un Enfer
Sache que tous tes rêves s’éteignent le jour où on t’enterre
J’touche pas au shit, ça m’empêche pas d’être un artiste en herbe
Ma chance fuit comme une salope quand la poisse me tabasse
Y’en a marre du biff des allocs, ramenez-moi un palace
T’as abimé mes sentiments, mon cœur a fini froissé
Nos destins étaient parallèles mais un jour on s’est croisé
J’ai plus le temps pour les femmes en fait, j’ai besoin de faire de la maille
Me barrer au soleil, j’te cache pas qu’au tieks ça caille
Le jour se lève, aujourd’hui j’veux de l’argent
Les keufs me poursuivent et moi j’poursuis mes rêves
Mais j’dors plus mon frère, j’ai fini par braquer l’marchand
J’vais finir par avoir un sourire sur mes lèvres
Vide la caisse, vide la caisse que j’puisse partir
Vide la caisse, vide la caisse que j’puisse partir
Vide la caisse, vide la caisse, y’en a marre de la tess
Si jamais j’pars j’veux plus y revenir
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