Mais quelle maladie, quand j’ai compris en un soupir
Que rien ne serait jamais plus comme avant
Et quelle maladresse, d’avoir donné tant de tendresse
Je te vois, tu me prends, tu me tiens, tu me laisses
Je vais regarder la vie
Je serais ton ombre ta mélancolie
Crois-tu qu’un jour je t’oublierais ?
Jamais, pas même le temps d’un regret
Mais regarde moi, vois comme je lutte
J’imagine que rien n’arrivera
J’imagine le réconfort dans tes bras
Mais regarde nous plus, l’ombre d’un doute
Je vois bien que tu n’aimes que toi
Que tu n’aimes que toi
Mais de quelle maladie me parles-tu, je n’comprends pas
Mon cœur se rédie, quand tu es loin de moi
Et loin de mon pays, c’est fou comme les amis me manquent
Le temps passe, plus rien n’a de sens
Mais si l’on prenait les trains de nuit
On s’en va, on s’en va réveiller l’envie
Crois-tu qu’un jour je t’oublierais ?
Jamais, pas même le temps d’un regret
Mais regarde moi, vois comme je lutte
J’imagine que rien n’arrivera
J’imagine le réconfort dans tes bras
Mais regarde nous, plus l’ombre d’un doute
Je vois bien que tu n’aimes que toi
Que tu n’aimes que toi
Et cette maladie que j’ai croisée dans ton sourire
Ne sera jamais plus qu’un souvenir
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