J'ai 25 ans, je m' appelle David et je vient de perdre ma femme.
On m'avait dit que avec le temps les plus belles roses se fanent.
Ma femme avait un amant, mais ne l'aimait pas vraiment.
Il est la raison de sa mort mais lui l'aimait tellement.
Il aimait parcourir son corps et pomper son énergie.
Il l'a aimée jusqu'à la mort et lui a ôté la vie.
J'ai longtemps cherché à savoir qui est cet homme qu'elle fréquente,
Les aller retour a l'hosto tout ça me semblait étrange.
Cet homme était-il médecin, que faisaient-ils tous les deux ?
Cet homme était tellement présent qu'elle en a perdu les cheveux.
C'était un homme incurable, qui voulait tuer ma femme.
Elle était l'essence de mon coeur, maintenant mon coeur est en panne.
Un homme que l'on appelait chimio connaissait bien son amant,
Et m'a donné son nom complet pour que je fume son amant.
Des mois de stress et des enquêtes pour qu'on comprenne au final,
Que le nom de son amant c'était cancer général.
T'as combattu le cancer t'avais du caractère.
J'ai pas voulu y croire, je peux m'en prendre qu'à moi même.
J'aurais même pu remplacer ma vie par la tienne, par la tienne.
J'en veux à ta maladie qui t'a pas ratée,
Elle t'a serrée très fort elle voulait pas te lâcher.
Son amour a pris ta vie me laissant dans ma peine, dans ma peine.
J'ai 23 ans, je m'appelle Julie et je viens de perdre la vie.
J'ai laissée derrière moi deux filles avec la peine d'un mari.
J'étais atteinte d'un cancer. Je l'avais dit à personne
Et puis je perdais mes cheveux comme les feuilles tombent en automne.
Mon mari était persuadé que j'avais un belle amant,
J'ai préféré le laisser douter histoire de gagner du temps.
Il avais peur de me perdre pensant que j'allais partir,
Mais bon, d'une certaine façon oui j'allais vraiment partir.
Je me confie à chimio, il était mon confident,
Le seul à comprendre que c'est dur mais il était mon traitement.
J'ai dû cacher ma maladie pour préserver ma famille,
Si vous saviez comme c'est si dur de mentir à son mari.
Durant ces six mois de traitement je n'avais aucun amant.
J'ai dû négliger mon mari, il était tellement patient
Je m'étais battue pour mes filles et pour mon homme au final,
Mais j'ai perdu selon combat face au cancer général.
T'as combattu le cancer t'avais du caractère.
J'ai pas voulu y croire, je peux m'en prendre qu'à moi même.
J'aurais même pu remplacer ma vie par la tienne, par la tienne.
J'en veux à ta maladie qui t'a pas ratée,
Elle t'a serrée très fort elle voulait pas te lâcher.
Son amour a pris ta vie me laissant dans ma peine, dans ma peine.
Bébé pardonne moi, car j'ai douté de toi.
Oh bébé pardonne moi, car j'ai douté de toi,
Car j'ai douté de toi,
Car j'ai douté de toi.
Pardonne moi !
T'as combattu le cancer t'avais du caractère.
J'ai pas voulu y croire, je peux m'en prendre qu'à moi même.
J'aurais même pu remplacer ma vie par la tienne, par la tienne.
J'en veux à ta maladie qui t'a pas ratée,
Elle t'a serrée très fort elle voulait pas te lâcher.
Son amour a pris ta vie me laissant dans ma peine, dans ma peine.
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