Tout va trop vite, t'auras pas l'temps d'appuyer sur le frein
Chéris les tiens, embrasse tes proches, tu peux partir demain
Toute seule à l'abri des regards elle s'met à chanter chanter chanter chanter
On est partis de rien, on est partis de rien (partis de rien)
On est partis de rien, on est partis de rien (on est partis de rien)
C'est dur, j'pense avancer alors que j'fais des tours
J'suis seul chez moi, j'veux pas savoir elle était où
J'allume mon poste, très vite j'vois qu'la télé m'dégoûte
J'ai dû soigner mes plaies et cadenasser mes doutes
J'fais des conneries, trop dans ma def'
Cette mélodie trotte dans ma tête
Et vivre ça rend fou et l'silence m'apaise
Et si j'pars sans vous, qui s'en rappelle ?
Après les quatre-cents coups, à toi d'donner l'exemple
Tu seras déçu, fais gaffe, si tu restes près des gens
Ta cible est droit d'vant toi, il faut qu'tu vises le bien
Et crois en toi, nous-mêmes on est partis de rien
Tout va trop vite, t'auras pas l'temps d'appuyer sur le frein
Chéris les tiens, embrasse tes proches, tu peux partir demain
Je roule un dernier joint en espérant qu'j'vais changer changer changer changer
Tout va trop vite, t'auras pas l'temps d'appuyer sur le frein
Chéris les tiens, embrasse tes proches, tu peux partir demain
Toute seule à l'abri des regards elle s'met à chanter chanter chanter chanter
On est partis de rien, on est partis de rien (on est partis de rien)
On est partis de rien, on est partis de rien (on est partis de rien)
Et on est partis de rien, on est partis de rien (on est partis de rien)
Et on est partis de rien, on est partis de rien (on est partis de rien)
Je voulais de l'or j'me disais : "Quand je serai grand, j'en aurai des tonnes"
Poupée, danse sur le reggaetón
Son déhanché guérit mes blessures de guerre
Une gorge nouée à me revoir, des larmes qui tombent sur le quai
Ici, seul le fric importe
Mais c'est pas grave, t'as juste besoin de temps et de courage pour devenir un homme
Le sourire de ma mère brille comme le collier que j'lui ai donné dans ce coffret, hey
Bienvenue dans la jungle : tu te feras attaquer par les vrais ennemis et les faux frères
Hey, ce monde ne tourne pas rond donc j'me la joue Bob Marley
Libre comme l'air sur une grosse Harley
Tout va trop vite, t'auras pas l'temps d'appuyer sur le frein
Chéris les tiens, embrasse tes proches, tu peux partir demain
Je roule un dernier joint en espérant qu'j'vais changer changer changer changer
Tout va trop vite, t'auras pas l'temps d'appuyer sur le frein
Chéris les tiens, embrasse tes proches, tu peux partir demain
Toute seule à l'abri des regards elle s'met à chanter chanter chanter chanter
On est partis de rien, on est partis de rien (on est partis de rien)
On est partis de rien, on est partis de rien (on est partis de rien)
Et on est partis de rien, on est partis de rien (on est partis de rien)
Et on est partis de rien, on est partis de rien (on est partis de rien)
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