J’en ai connu des draps bien frais
Des confidences sur l’oreiller
Et des secrets dans les alcôves
Qui sentaient bon des riches, des pauvres
Quand je voyais le Paradis
C’est un septième ciel de lit
Dont les anges étaient mes amants
Qui s’endormaient en souriant
Moi ça m’empêche de dormir
Quand je pense à mes dix-sept ans
Ils tournent dans mes souvenirs
Comme un bal de petits lits blancs
Et ça m’empêche de dormir
Quand je pense à mes dix-sept ans
Ils tournent dans mes souvenirs
Comme un bal de petits lits blancs
J’en ai connu de ces étreintes
Quand la lumière s’est éteinte
Elles commençaient quand la nuit vient
Elles ne finissaient qu’au matin
J’en ai froissé en ribambelles
De ces fraîches et fines dentelles
Que je brodais pendant le jour
Pour préparer mes nuits d’amour
Moi ça m’empêche de dormir
Quand je pense à mes dix-sept ans
Ils tournent dans mes souvenirs
Comme un bal de petits lits blancs
Et ça m’empêche de dormir
Quand je pense à mes dix-sept ans
Ils tournent dans mes souvenirs
Comme un bal de petits lits blancs
Et maintenant seule je dors et seule j’attends les aurores
J’entends les heures une à une et parfois un rayon de lune
Vient se glisser dedans mon lit
Et me caresser dans la nuit
Me rappelant pour un instant
Mes belles nuits blanches d’avant
Moi ça m’empêche de dormir
Quand je pense à mes dix-sept ans
Ils tournent dans mes souvenirs
Comme un bal de petits lits blancs
Et ça m’empêche de dormir
Quand je pense à mes dix-sept ans
Ils tournent dans mes souvenirs
Comme un bal de petits lits blancs
Et ça m’empêche de dormir
Quand je pense à mes dix-sept ans
Ils tournent dans mes souvenirs
Comme un bal de petits lits blancs
Et ça m’empêche de dormir
Quand je pense à mes dix-sept ans
Ils tournent mes souvenirs
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