Je cueille des fleurs, j’fais l’cornichon
Je joue tout seul à saute-mouton
L’instant d’après, j’suis abattu
J’vois tout en noir, j’voudrais qu’on m’tue
J’ai des absences, j’vois des lucioles
J’suis mort de rire pour une babiole
J’sais pas c’que j’ai, j’me sens tout chose
Suis-je l’objet d’une métamorphose ?
Falbala, Falbala
Tu dois savoir, toi, dis-le-moi
Falbala, Falbala
Mais quel est ce vent de folie
Dis, dis-le moi, Falbala, dis
J’voudrais en parler à tout l’monde
Leur dire combien je te trouve blonde
J’ai très envie d’crier ton nom
En plein milieu des réunions
Moi qui n’étais pas très soigné
J’me suis surpris à m’recoiffer
Je rentre le ventre, j’mets du "sent-bon"
J’fais attention à mon cal’çon
Falbala, Falbala
Tu dois savoir, toi, dis-le-moi
Falbala, Falbala
Mais quelle est donc cette maladie
Qui m’a coupé tout, tout l’appétit
Des fois, j' prépare un compliment
Pour te dire des trucs importants
Quand t’arrives tout tombe en quenouille
Je bute, j’hésite, j’rougis, j’bafouille
Ça me poursuit, ça me travaille
Ça me remue dans les entrailles
Mais quelle est donc cette maladie
Qui m’donne envie d’te faire des p’tits
Falbala, Falbala
Tu dois savoir, toi, dis-le-moi
Falbala, Falbala
Mais quel est ce vent de folie
Dis, dis-le moi, Falbala, dis
Dis, mais quelle est donc cette maladie
Qui m’donne envie d’te faire des p’tits
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