[Mayhem]
Oui j'suis fatigué, de faire semblant de vivre. Sourire quand j'veux pleurer poto y'as rien de pire. J'voulais bâtir un empire, pas juste survivre, j'voulais écrire des tonnes de livres, j'voulais que l'art me délivre
Mais, au vue de mes chapitres, j'verses des larmes en litre, carton rouge car je simule, c'est ce qu'as dit l'arbitre
Jouer au mec normal, j'te jure, j'en crève, et chaque jours bin..... j'brancarde mes rêve, trouver une solution avant que l'histoire s’achève, mais, ma motivation, à plantée le piqué de gréve
Infecté par l'enzyme l'ennuie règne, lâcher des rimes et des synonymes c'est dans mes gène
Pourtant la médiocrité, à finis par m'encercler, mais, c'est de ma faute, j'ai laissé les choses empirées. J'ai arrêter d'essayer, par peur d’échouer, mais croyez moi sur parole, je n'ai pas finis de lutter
[Nachos]
Alors oui je serre les dents, désormais j'vais de l'avant, j'ai gardée mon âme d'enfant, ouai je préférais avant
Alors oui je serre les dents, je rêves souvent ma passion je la défend c'est ce qui constitue mon sang
Alors oui je serre les dents, désormais j'vais de l'avant, j'ai gardée mon âme d'enfant, ouai je préférais avant
Alors oui je serre les dents, je rêves souvent ma passion je la défend c'est ce qui constitue mon sang
[Mayhem]
La mâchoire contracté à m'en péter les chailles, j'aimerais échanger ma peau, contre une cote de maille
Trouver l'équilibre en gardant l'esprit libre, une inspi clandestine, pour qu'mon cœur vibre
Partager mes peurs pareille pour ma rancœur, dénoncer nos douleur le système n'est qu'un leurre. La frayeur de ma vie en être....... Spectateur. Un théâtre de l'horreur où le grand absent est l'honneur
Je voulais la dolce vita, au lieu du pôle emploie, pourrai'je avoir sa, même avec des chèques en bois ? J'peu m'estimer heureux au moins j'ai un toit, malgré cette vie de chien j'tente de garder la foie
Si la faim justifie les moyens, de mes moyens je sent la fin. J'me bat pour ma famille, pour qu'ils manquent de rien
La réalité est une arène, seul les plus fort survive. Mes armes sont rouillés mais ma flamme est vive
[Nachos]
Alors oui je serre les dents, désormais j'vais de l'avant, j'ai gardée mon âme d'enfant, ouai je préférais avant
Alors oui je serre les dents, je rêves souvent ma passion je la défend c'est ce qui constitue mon sang
Alors oui je serre les dents, désormais j'vais de l'avant, j'ai gardée mon âme d'enfant, ouai je préférais avant
Alors oui je serre les dents, je rêves souvent ma passion je la défend c'est ce qui constitue mon sang
[Mayhem]
J'regarde tourner l'monde sans y trouver ma place, dans cette spiral moribonde, le mal y est tenace
J'essaie de tenir bon même assaillie par la souffrance, faire preuve d’abnégation, éviter l’état de béance
Derrière mon reflet je ne me reconnais pas, j'te jure c'est pas moi ou est l'envers et l'endroit, j'suis pas cette homme de verre, qui ce brise avec fracas, mon âme est fière, j'suis parer pour le combat. J'pose les base, clos les débats, manie les phases, causes des dégâts
Trop de faux départ, trop d'opportunités gâchées, comme Gringe et Orel, j'me sent inachevé
Ma vie est devant moi, mais, j'arrive pas à l'atteindre, je fait qu'attendre, pleurer, geindre
Désabuser j'me perd, j'décris l'enfer, rien d'autre à faire, j'y crois dure comme fer, j'rendrai ma famille fière, je serai leur repaire
[Nachos]
Alors oui je serre les dents, désormais j'vais de l'avant, j'ai gardée mon âme d'enfant, ouai je préférais avant
Alors oui je serre les dents, je rêves souvent ma passion je la défend c'est ce qui constitue mon sang
Alors oui je serre les dents, désormais j'vais de l'avant, j'ai gardée mon âme d'enfant, ouai je préférais avant
Alors oui je serre les dents, je rêves souvent ma passion je la défend c'est ce qui constitue mon sang
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