Tu contemples le trône en lauriers
Seulement quelques gouttes pas de mer à boire
Le spectre l'ozone qui nous horripile
Ça commence à être long, long, longtemps
Ça a d'l'air qu'il faut qu'on opère qu'on sangle nos tripes
Y a de la levure qui veut réclamer son pain
Sois le somnifère, sois la vitamine
Que le poison n'ait pas ruisselé en vain
Cours au guet-apens à toutes les heures tapantes
Parti sur une pétarade mes yeux en cascatelles
Sois mon détaillant dans l'ombre Seroquel
Souffle des bulles d'ouragan dans les nuits affamantes
Le fantasme accablant d'un macchabée exquis
Dénudé de son prestige, presqu'île
Un soir accaparant rescapé de l'exil
Du carburant imbibé plein le textile
Convertis la main qui porte l'épée
Ton front est sain de fleurons glorieux
Tes pensées prennent envol à flanc de parapet
Comme s'effacent tranquillement soucis de saut périlleux
Les confettis l'extase pour le coryphée
Dansent le quadrille du «Ils vécurent heureux»
Venus dans ce monde tout ébouriffés
Nos cheveux devenus longs, longs comme le temps
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