Oh ! que n’ai-je vécu dans le beau moyen âge,
Age heureux du poète, âge du troubadour !
Quand tout ployait sous l’esclavage,
Lui seul n’avait que le servage
De sa lyre et de son amour.
Donc, sous son mantelet emportait sa richesse,
Sa lyre qui vibrait pour l’hospitalité ;
Et son estramaçon sans cesse
Demi-tiré pour sa maîtresse,
Brandissant pour sa liberté !