Épitaphe
Paul-Jean Toulet

Poème Épitaphe

I. M. N.

Plus souple à dénouer mes plis
Que le serpent n'ondule,
Ayant tous, ô Vénus Pendule,
Tes rites accomplis ;

Quand vint l'heure où le coeur se navre,
Et des fatals ciseaux,
Je mourus, comme les oiseaux,
Sans laisser de cadavre.