Ouais, ouais, ouais
WaveMakers
Zikyenne
Eh
J'sais qu'aux yeux du monde, j'suis p't-être vu comme une particule
Le soir, rester posté dans une square de Paris sud
Les lumières de la ville sont des capsules d'inspiration
Quelques tours du périph', c'est l'seul moyen d'v'-esqui la zone
Vingt-six piges plus tard, les mêmes potos, la même adresse
Mon cœur se sent violé quand les épreuves font des caresses
J'suis dans une dame de Bucarest, j'connais même pas son blase
Ça rapporte des soucis aussi d'foncer quand y a l'occas'
Le plus gros problème de ma vie nous crée des problèmes
J'ai qu'une envie d'partir, j'sais qu'on m'attend pour [sûr?] au bled
Les rossignols chantent plus, les anges volent bien trop bas
Cousin, si le sample claque, tue, j'suis bien ton gars
Ça nous observe posté, à attendre qu'on s'tape
C'est juste un constat, ça y est, plus peur d'accoster
Plonger trop vite dans l'grand bain, les sirènes qui chantent, c'est pas un mythe
Les comptes j'les fais, nique les paramètres
Tout pour l'caramel, turbulent d'puis la maternelle
Des racks de stup' au Paraguay parce que le bac', j'l'ai pas raté
Mais ça m'a rien apporté, j'suis bourré dans un cortège
Toute l'année, le Diable, devant ma porte, prêche
J'me soigne au rap français dans un sous-sol à Drancy
Ça peut s'mettre à danser si ??? principe
La vengeance est la pensée, l'époque des glaces à trente cents
J'fume, j'plane seul dans la 'ture
J'prêterai ma plume à Pierre, qu'il voit c'qui s'passe sous la Lune
[Jack ?], c'est la rue (ouais), on [crique ?] sous la pluie
Faut pas nous dire à nous comment on doit faire de la thune
Cramer l'actu', des 'tasses et d'la stup'
J'kiffe les prods qui tapent, les affaires classées sans suite
Rap et ratures, l'amour rare tue
Rap et ratures, rap et ratures
Passe par chez moi, y a v'là les rêves
J'ai vu trop d'frères souffrir et tellement galérer
Ça vend marron, ça vend des verts
C'est des mineurs qui préviennent de leur arrivée
Et j'roule encore au même endroit
Un joint derrière, mon esprit s'évade dans les îles
J'peux plus rien faire moi, si pour toi
Tu crois qu'on joue et qu'ça nous suffit, la musique
[Un soir de 'teille ?], j'ai cassé l'mic'
Métaphore sur métaphore, maintenant, j'attends des contrats d'Adidas et d'Nike
Rendez riche ma mère, c'est mieux
De plus jamais toucher l'pilon, c'est pas le plan, c'est l'vœu
Si j'm'en sors, c'est l'feu, c'qui m'oriente, c'est l'vent
Mais les chemins sont étroits
Le best comme un blond de Detroit
Le réticule, j'ai l'œil dessus, tu sais pas depuis quel toit
Les dix balles sont moisis, cousin, coupe bien les quettes-pla
Personne qui m'inquiète, nan, j'cache tout dans ma squette-ca
J'visser grave des skateurs, j'ai virgule sur la sket-ba
Zikyenne qui rature les Cayenne
Toujours tu détailles dans l'escalier
Passe par chez moi, y a v'là les rêves
J'ai vu trop d'frères souffrir et tellement galérer
Ça vend marron, ça vend des verts
C'est des mineurs qui préviennent de leur arrivée
Passe par chez moi, y a v'là les rêves
J'ai vu trop d'frères souffrir et tellement galérer
Ça vend marron, ça vend des verts
C'est des mineurs qui préviennent de leur arrivée
Et j'roule encore au même endroit
Un joint derrière, mon esprit s'évade dans les îles
J'peux plus rien faire moi, si pour toi
Tu crois qu'on joue et qu'ça nous suffit, la musique
Passe par chez moi, y a v'là les rêves
J'ai vu trop d'frères souffrir et tellement galérer
Ça vend marron, ça vend des verts
C'est des mineurs qui préviennent de leur arrivée
Et j'roule encore au même endroit
Un joint derrière, mon esprit s'évade dans les îles
J'peux plus rien faire moi, si pour toi
Zikyenne, ouais, ouais, ouais, ouais
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