Sensuelle, la nuit qui m’appelle,
Comme le serpent,
Je me glisse vers tous ces vices
De la chair, des plans éphémères,
Juste pour la nuit, je me sers.
Dans un brouillard si intense de fumée,
De sueur je danse, dans une transe,
Qui réveille tous mes sens.
Je me sens d’humeur tactile,
Quand ma tequila m’taquine
Et me pousse vers des mœurs libertines.
C’est là où je suis à la merci
Des vices de la nuit qui me défient.
Sensuelle c’est la nuit qui m’appelle,
Elle me dévore quand le jour s’endort.
Je laisse la morale et lèche
Du regard tous ces corps
Qui se compressent.
La chaleur suffocante génère
Des envies de nu qui dégénèrent.`
Tous ces regards qui s’échangent,
Qui circulent et se mélangent
Finissent souvent vers des portes closes.
Pardonnez-moi j’ai péché,
Dans la luxure j’ai donné.
En enfer je vais sûrement brûler.
C’est là où je suis à la merci
Des vices de la nuit qui me défient.
Sensuelle c’est la nuit qui m’appelle,
Elle me dévore quand le jour s’endort.
Quand le jour perce la nuit,
Réalisant qu’elle nous maquille
De ses fards et ses lumières noires.
Que du faux, que des strasses,
Tous avec nos masques et nos frasques.
Je l’assume même si ça m’consume.
C’est là où je suis à la merci
Des vices de la nuit qui me défient.
J’ai le vice qui me coule dans les veines,
Dans mon corps,
Tous mes sens se déchaînent.
J’ai le vice qui me coule dans les veines,
Dans mon corps,
Tous mes sens se déchaînent.
J’ai le vice qui me coule dans les veines,
Dans mon corps.
Sensuelle c’est la nuit qui m’appelle,
Elle me dévore quand le jour s’endort.
La nuit…
(ad lib)
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