J'connais déjà trop la suite : quand j'lui dis "j'suis dans la 'sique"
Elle veut rentrer dans ma vie car j'vis la mienne comme un film
Mais j'dois tourner, tourner, tourner tous les jours, ouais
J'vois d'jà les larmes couler sur tes joues, ouais
Tu sais comment c'est quand ça traîne dans la ville
Ça part en vrille quand la nuit nous entraîne
Une fille m'a dit : "Tu fais quoi dans la vie ?"
Elle a vu les vues, elle m'a passé son tél'
Mais son regard est trompeur, j'sais bien pourquoi elle est attirée
Elle veut la clé d'mon cœur mais la serrure est trop abîmée
Tu pourras pas cacher tous tes vices
Car le temps fait tomber tous les masques
Elle croit me connaître parce qu'elle connaît Vin's
Faut que j'arrête avant que ça devienne trop néfaste et
Elle se fait des films, elle arrête pas d'se projeter
Elle a cru qu'j'étais le bon navire mais j'l'ai même pas accostée
Ouais, parfois, j'hésite et puis, c'est trop tard
Dans mon crâne, j'sais pas faire l'vide total
Chez moi, pas d'idylle, ça tourne vite au drame
J'rentre dans ton cœur, j'fais une prise d'otage
J'mène un train d'vie qui nourrit ses angoisses
Même sans l'vouloir, j'finis par la froisser
Le même sentiment à chaque fois qu'je l'embrasse
Qui m'dit que nos chemins ne font que se croiser
Toi qui croyais m'cerner, t'es tombée de haut
Plus d'une fois dans c'merdier, j'ai tourné en rond
J'ai trop souvent parlé sans peser mes mots (ouais)
J'avoue, des fois, je perds pied
J'connais déjà trop la suite : quand j'lui dis "j'suis dans la 'sique"
Elle veut rentrer dans ma vie car j'vis la mienne comme un film
Mais j'dois tourner, tourner, tourner tous les jours, ouais
J'vois d'jà les larmes couler sur tes joues, ouais
J'connais déjà trop la suite : quand j'lui dis "j'suis dans la 'sique"
Elle veut rentrer dans ma vie car j'vis la mienne comme un film
Mais j'dois tourner, tourner, tourner tous les jours, ouais
J'vois d'jà les larmes couler sur tes joues, ouais
Elle me parle d'amour, c'est comme parler chinois, elle me dit "ça peut cher-mar"
Mais c'est toujours l'même schéma : elle finit par détester c'qu'elle a aimé chez moi
Elle me dit : "Quand est-ce que tu prends des congés ? Quand est-ce que t'as du temps ?
Mais j'suis en concert quand toi tu dors, j'sais qu'un jour, tout ça causera du tort
Tu sais j'ai pas vu l'avenir dans des cartes, moi, j'passe ma vie dans les gares
Chaque jours dans une nouvelle ville, tous les soirs, ça finit tard, elle pense que je mène une double-vie
Eh ouais, chérie, j'suis un vagabond, viens pas dans mon cœur, c'est les catacombes
La route est longue et y a d'la randonnée, j'ai trop peu de temps pour pouvoir en donner, hey
Trop d'choses à faire, plus d'temps à perdre, j'me démène, j'me débrouille
Tous les jours, j'bosse sur la 'tape, au bout du tél', y a des larmes qui coulent
Elle m'dit : "Tu casses les couilles, j'sais pas c'qu'il y a dans ta tête"
Me parle pas d'me poser, on s'est pas causés, souvent, le sang ne fait qu'un tour
La discussion tourne au procès : elle m'accuse de pas témoigner en cet amour
Toi qui croyais m'cerner, t'es tombée de haut
Plus d'une fois dans c'merdier, j'ai tourné en rond
J'ai trop souvent parlé sans peser mes mots (ouais)
J'avoue, des fois, je perds pied
J'connais déjà trop la suite : quand j'lui dis "j'suis dans la 'sique"
Elle veut rentrer dans ma vie car j'vis la mienne comme un film
Mais j'dois tourner, tourner, tourner tous les jours, ouais
J'vois d'jà les larmes couler sur tes joues, ouais
J'connais déjà trop la suite : quand j'lui dis "j'suis dans la 'sique"
Elle veut rentrer dans ma vie car j'vis la mienne comme un film
Mais j'dois tourner, tourner, tourner tous les jours, ouais
J'vois d'jà les larmes couler sur tes joues, ouais
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