TTC
Ebisu rendez-vous
(Teki Latex)
Màà‚Æ’Âà‚ªme si c'est la premiàà‚Æ’Âà‚¨re fois que je viens,
Une partie de moi enfouie dans mon estomac s'en souvient.
Les càà‚Æ’Âà‚¢bles àà‚Æ’©lectriques semblent familiers,
Les tableaux aux murs des àà‚Æ’©piciers semblent s'animer.
Les passants sont tellement bien habillàà‚Æ’©s,
Mes pas se font rares tellement le sol j'ai peur d'abàà‚Æ’Âà‚®mer.
La vie au milieu d'une bande dessinàà‚Æ’©e,
Le pire c'est que tout est comme je l'avais imaginàà‚Æ’©.
J'aimerais profiter mais mes yeux sont trop occupàà‚Æ’©s
àà‚Æ’ï¿à‚½ s'àà‚Æ’©carquiller devant chaque boutique, chaque broutille,
Chaque bout de ville chaque bout de fille.
J'avoue le pire tout est comme je l'avais imaginàà‚Æ’©
àà‚Æ’ï¿à‚½ tel point qu'en venant ici j'ai l'impression de rentrer àà‚Æ’Âà‚ la maison.
On a dansàà‚Æ’© toute la nuit au rythme des lumiàà‚Æ’Âà‚¨res du pàà‚Æ’©riphàà‚Æ’©rique,
Goàà‚Æ’Âà‚»tàà‚Æ’© du sakàà‚Æ’© sous la pluie en jugeant qu'on màà‚Æ’©rite d'àà‚Æ’Âà‚ªtre riche,
Pour pouvoir revenir, jamais autant je n'ai souhaitàà‚Æ’© vivre
Assez longtemps pour revoir s'envoler au vent les tresses des filles.
(Cuizinier)
Je ne suis pas parti mais je pense àà‚Æ’Âà‚ rentrer et jàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½ai peur.
Tu màà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½as fait mal au cà...ï¿à‚½ur.
Je tàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½observe puis me prosterne, tu màà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½obsàà‚Æ’Âà‚¨des depuis si longtemps
Je me ballade et suis malade de tout ce que la ville possàà‚Æ’Âà‚¨de
Je nàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½en oublierai pas làà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½odeur
Mos burger et biàà‚Æ’Âà‚¨re Asahi tandis que les regards des nipponnes màà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½ont assailli
Sur fond de musique de jeux vidàà‚Æ’©o Konami.
Làà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½enfant se promàà‚Æ’Âà‚¨ne dans un parc dàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½attraction
Un arc en ciel de nàà‚Æ’©ons
Une malle entiàà‚Æ’Âà‚¨re de raisons de sàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½installer plus dàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½une saison
Pas de temps àà‚Æ’Âà‚ perdre je ne dors pas jàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½enregistre
Consomme local pour les kogals càà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½est chambre six
Dans la rue je suis totalement àà‚Æ’©merveillàà‚Æ’©,
Je tàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½ai vu en hiver, pas grave màà‚Æ’Âà‚ªme si je pràà‚Æ’©fàà‚Æ’Âà‚¨re làà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½àà‚Æ’©tàà‚Æ’©
Je repars chez moi avec un sourire dàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½àà‚Æ’©cervelàà‚Æ’©
Gràà‚Æ’Âà‚¢ce àà‚Æ’Âà‚ toi, àà‚Æ’Âà‚ ta gràà‚Æ’Âà‚¢ce je me suis pris une claque dans la face
Maintenant les battements du cà...ï¿à‚½ur vont dàà‚Æ’©càà‚Æ’©làà‚Æ’©rer
Gàà‚Æ’©nàà‚Æ’©rer le calme plat car la tempàà‚Æ’Âà‚ªte fait mal et nettoie
Je vois clair àà‚Æ’Âà‚ nouveau je voulais te remercier dàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½avoir participàà‚Æ’©
On màà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½attend mais je prendrai le temps la prochaine fois.
(Tido Berman)
Je marche dans cet immense paysage de manga, abat-jour et lumiàà‚Æ’Âà‚¨re tamisàà‚Æ’©e,
Dans un pyjama de soie blanc j'ai ràà‚Æ’©alisàà‚Æ’© plusieurs ràà‚Æ’Âà‚ªves, que je revoyage.
Des bambous taillàà‚Æ’©s formant des conduits d'eau, sur poulie coulissent selon leur
poids, je donne Le mouvement, dàà‚Æ’©coince des torticolis màà‚Æ’Âà‚ªme sans corticoàà‚Æ’Âà‚¯de.
Danse jusqu'àà‚Æ’Âà‚Â Okinawa
Dans ce love hàà‚Æ’Â'tel avec des boules de geisha,
Cette jolie japonaise, toujours souriante en jupe àà‚Æ’©cossaise me regarde de
derriàà‚Æ’Âà‚¨re ses yeux noirs, J'y ai bu du champagne, sirotàà‚Æ’© àà‚Æ’Âà‚ la paille, rencontràà‚Æ’©
des personnes intàà‚Æ’©ressantes les orteils en àà‚Æ’ï¿à‚½ventail.
Dans un monospace je trace, au micro pas iconoclaste je brasse,
Est-ce qu'il est bon ce vin blanc ? alligato !
Tek un sumo gàà‚Æ’©ant suant sautant t'àà‚Æ’©prouvant,
Cuiz àà‚Æ’©ternel ado bàà‚Æ’©flan tisant til-gen
Tidàà‚¢ï¿à‚½ï¿à‚½ le maso bàà‚Æ’Âà‚¢tard plaisant fouinant trouvant des vrais collectors au pays du
soleil levant
importàà‚Æ’© en occident et payant comptant.
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