À grands coups d’avirons de douze pieds, tu rames
En vers… et contre tout – Hommes, auvergnats, femmes. –
Tu n’as pas vu l’endroit et tu cherches l’envers.
Jeune renard en chasse… Ils sont trop verts – tes vers.
C’est le vers solitaire. – On le purge. – Ces Dames
Sont le remède. Après tu feras de tes nerfs
Des cordes-à-boyau ; quand, guitares sans âmes,
Les vers te reviendront déchantés et soufferts.
Hystérique à rebours, ta Muse est trop superbe,
Petit cochon de lait, qui n’as goûté qu’en herbe,
L’âcre saveur du fruit encore défendu.
Plus tard, tu colleras sur papier tes pensées,
Fleurs d’herboriste, mais, autrefois ramassées…
Quand il faisait beau temps au paradis perdu.
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