Assise en tailleur, sur mon vieux tapis indien,
J'ai taillé ton cœur, une paire de ciseaux à la main,
C'est une photo simple, j'y laisse mes empreintes;
et les derniers bouts,
et les derniers bouts,
et les derniers, les derniers bouts de toi.
Je perce ton regard avec la pointe et tu vois,
même sans crier gare, j'attaque la bague à ton doigt,
Sans que rien ne bouge, adieu les yeux rouges;
et les derniers bouts..
et les derniers bouts..
et les derniers, les derniers bouts de toi.
Tu n'y couperas pas,
cette fois j'en fini avec toi.
Tu n'y couperas pas, aussitôt dit
aux ciseaux, aux ciseaux je t'oublie.
Assise en tailleur, je contemplerai ton sourire,
au bout d'un quart d’heure, tes dents sont celle d'un vampire.
Je te vois maintenant, comme tu es vraiment;
Un monstre,
un monstre,
Un monstre, qui m'a fait souffrir.
Tu n'y couperas pas,
cette fois j'en fini avec toi
Tu n'y couperas pas, aussitôt dit
aux ciseaux, aux ciseaux je t'oublie.
Aux ciseaux je t'oublie. (chuchote)
Assise en tailleur, sur mon vieux tapis indien,
J'ai taillé ton cœur, une paire de ciseaux à la main..(*2)
Je garde la mesure, mieux vaut c'est plus sûr,
couper court, à la déchirure.
Tu n'y couperas pas,
cette fois j'en fini avec toi.
Tu n'y couperas pas, aussitôt dit
aux ciseaux, aux ciseaux je t’oublie.
Tu n'y couperas pas,
cette fois j'en fini avec toi.
Tu n'y couperas pas, aussitôt dit
aux ciseaux...
...aux ciseaux je t'oublie.
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