Tout l'monde rêve d'une femme
Avec la grâce comparable à celle qui m'a donné la vie
D'une dame
Qui vous chérit tous les jours avec ou sans cérémonie
Mon cœur tressaille
Où qu'elle aille
Mes pensées l'accompagnent
C'est la seule qui peut tant m'chérir
Même sans entailles
Où est la faille?
Comme deux personnes éprises
Se promettent un amour à vie
Je n'lui aurait jamais fait d'mal
Que peut pousser un homme
À leurrer celle qu'il dit aimer
En silence, ses mensonges s'installent
Tout devient confus, comme distinguer le faux du vrai
Mais tout l'monde rêve d'une femme
Tout l'monde rêve d'une dame
Tout l'monde rêve...
Tout l'monde rêve d'une femme
Avec la grâce comparable à celle qui m'a donné la vie
D'une dame
Qui vous chérit tous les jours avec ou sans cérémonie
Quand elle se donne
Je reste aphone
Garder les yeux fermés juste pour éviter de penser
Que tu déraisonnes
Que t'abandonnes
Rien de grave si ce n'est que ta gyal en serait terrassée
Comme un prisonnier en cavale
Tu atténues tes fautes et peines à passer aux aveux
Piégé par ses yeux au final
Elle t'en veut mais pardonne car elle se condamne toujours un peu
Mais tout l'monde rêve d'une femme
Tout l'monde rêve d'une dame
Tout l'monde rêve d'une... woy, oy oy
Tout l'monde rêve d'une femme, woy
Tout l'monde rêve d'une dame, woy
Tout l'monde rêve d'une... woy, woy oy oy
Tout l'monde rêve d'une femme
Avec la grâce comparable à celle qui m'a donné la vie
D'une dame
Qui vous chérit tous les jours avec ou sans cérémonie
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