Ma mère m'a tué grande matriarche de mes amours imaginaires
J'suis née cernée c'est familial si la misère m'est familière
J'rêve qu'on s'retrouve j'me demande t'es où, enfin surtout les soirs d'hiver
Parfois c'est trop j'étouffe j'me demande pourquoi loin d'elle j'ai besoin d'air
Et tu mérites pas qu'j'te pardonne ou qu'j'te réponde
En plus ça placote à l'école, à c'qui paraît ma mère est folle
Fait que j'rêve d'une meilleure époque, c'est peut-être juste du temps qu'il nous faut
Au fond j'convaincue qu'c'pas ta faute et que c'est la vie qui t'as fuck
Donne-moi d'la force et pray for me, une autre fillette qui est en foyer
Chantonne la symphonie des orphelins qui souhaitent être enfin libres
Seule en haute mer je cherche la mienne, j'ai l'impression qu'mes yeux sauraient
Dans leur cœur une fête foraine, dans le miens un feu d'forêt
Tu m'as cherché prétendument mais j'ai l'pressentiment qu'tu mens
C'est l'incendie des sentiments j'pense à m'tuer tellement tu m'manques
Maintenant dis-moi qui peut m'aimer ? Trop tard le mal est permanent
J'peux pas m'enfuir d'sentir le vide grandir sans dire je t'aime maman…
Comme tous les oiseaux seuls
Qui sont tombés du ciel
Loin des yeux près du coeur
Sans le dire on le sait
Même si nos chances se perdent
Que le reflet nous heurte
Noyés dans le même ciel
Comme tous les oiseaux seuls
Un plus un font deux mais sans toi j'suis rien c'est mathématique
Y manque une moitié Dieu m'est témoin même si t'es loin t'es ma fille
Ma petite étoile est partie, enlevée par l'état j'imagine que t'es magique
Comme Mathilda et qu't'es happy où qu'tu sois, please
J'espère qu'tu t'souviens d'mon odeur
Et que d'une manière mystérieuse la vie synchronisera nos cœurs
T'es mieux sans moi j'y crois presque, j't'aime autant que j'me déteste
Entendre ton prénom me blesse mais à chaque bonheur sa tristesse
J'ai si peur d'oublier tes traits, j'garde ton portrait sous mes paupières
Le psy voudrait comprendre c'est clair, c'est les pilules ou ben mon père
Paradis d'glace j'm'injecte les flammes sans toi le ciel sur ma peau pleur
J'me plais à croire que toute ces larmes pourront faire repousser nos fleurs
Tu m'as cherché prétendument mais j'ai l'pressentiment qu'tu mens
C'est l'incendie des sentiments j'pense à m'tuer tellement tu m'manques
Maintenant dis-moi qui peut m'aimer ? Trop tard le mal est permanent
J'peux pas m'enfuir d'sentir le vide grandir sans dire je t'aime maman…
Comme tous les oiseaux seuls
Qui sont tombés du ciel
Loin des yeux près du coeur
Sans le dire on le sait
Même si nos chances se perdent
Que le reflet nous heurte
Noyés dans le même ciel
Comme tous les oiseaux seuls
Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)