Car il n’est pas juste que la lamentation
soit dans la maison des serviteurs des Muses :
cela est indigne de nous.Psappha.
Le charme maladif des musiques moroses
Ici ne convient point à l’auguste trépas.
Venez, il faut couvrir de rythmes et de roses
La maison de l’Aède, où le deuil n’entre pas !
Que, parmi le reflux des clartés, se déploie
La pompe des parfums, des chants et des couleurs :
Avec des cris d’orgueil, d’espérance et de joie,
Jetez à pleines mains les fleurs, les fleurs, les fleurs !
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