Ah! vous dirais-je maman,
Ce qui cause mon tourment,
Depuis que j'ai vu Wolfgang
Me regarder d'un air tendre,
Mon coeur dit à chaque instants,
Peut-on vivre sans amant ?
Il rougit et par malheur,
Un soupir trahit son coeur.
La cruelle avec adresse,
profite de sa faiblesse,
Hélas, maman! Un faux pas
Le fait tomber dans ses bras.
Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)