Au royaume des elfes, le dragon ball de Zelda,
Personne n’a la flemme, hyperactif ne dort pas,
As-tu vu la peine, celle-là même s’arrête là,
L’enfance de la vie de rêve, cette insouciance qu’on nous enlève,
Au royaume des elfes, le dragon ball de Zelda,
Personne n’a la flemme, hyperactif ne dort pas,
As-tu vu la peine, celle-là même s’arrête là,
L’enfance de la vie de rêve, cette insouciance qu’on nous enlève,
Tu te rappel on était gosses, c’était chan-mé sa mère,
Ouais les mains dans les poches, les billes, les potes,
Ouais l’époque de rêve,
Faire du sport au grand air, courir pendant des heures,
Ici aucune peur de perdre, pour nos bêtises pas d’enquêteurs,
Squatter la play des potes, non j’en avais pas chez moi,
Pas de consoles, pas de gameboys, quelques échardes, un plancher de bois,
Faire rien de toute l’aprèm, ???
Le pyjama j’ai la flemme, je préfère jouer du Nirvana,
Finisse dans la street, j’avais du mal, je tapais du bout,
Je me souviens c’était moins toxique quand les tomates avaient du gout
Tout était moins reu-che, jogging couleur peau de pêche,
Loin des dealers de teuch qui fait l’odeur de l’herbe fraiche,
On parlait avec des codes pour être incompris des adultes,
Un gâteau sec dans le bide, un verre de lait pour l’ossature,
Putain ce que c’était bon, et si grandir t’embête,
Dis-toi que t’as le temps pour devenir con, rester le même c’est dans la tête,
Au royaume des elfes, le dragon ball de Zelda,
Personne n’a la flemme, hyperactif ne dort pas,
As-tu vu la peine, celle-là même s’arrête là,
L’enfance de la vie de rêve, cette insouciance qu’on nous enlève,
Au royaume des elfes, le dragon ball de Zelda,
Personne n’a la flemme, hyperactif ne dort pas,
As-tu vu la peine, celle-là même s’arrête là,
L’enfance de la vie de rêve, cette insouciance qu’on nous enlève,
On se prenait pour des bandits, keufs aux trousses, rentrait tard,
À quatre sur un cadi on faisait pas les courses, on faisait du kart,
Je pense à ???, je sais qu’au fond tu captes,
Putain ce qu’on a gol-ri, de nos conneries au fond du car,
Les tests d’Ivan, un petit sourire pour l’oreiller,
Les pièces de dix francs de la petite souris sous l’oreiller,
Je me disais dans dix ans, je serais chanteur ou architecte,
Je me fous de la lenteur, je voulais l’ampleur des archipels
On s’empresse après l’école, cocard sous la pommette,
Pour voir les potes pas de téléphone, c’est la voix ou la sonnette,
Si t’es tout seul bah tu barroudes, si je me reste j’ai la peau dure,
On mangeait les fruits qui restent, ceux qui dépassent de la clôture,
Mets de la mousse dans le pain, du chocolat dans le pain de lait,
Ouais l’été on était bien, et toutes les nuits on faisait le plein de rêves,
Putain ce que c’était bon, et si grandir t’embête,
Dis-toi que t’as le temps pour devenir con, rester le même c’est dans la tête,
Au royaume des elfes, le dragon ball de Zelda,
Personne n’a la flemme, hyperactif ne dort pas,
As-tu vu la peine, celle-là même s’arrête là,
L’enfance de la vie de rêve, cette insouciance qu’on nous enlève,
Au royaume des elfes, le dragon ball de Zelda,
Personne n’a la flemme, hyperactif ne dort pas,
As-tu vu la peine, celle-là même s’arrête là,
L’enfance de la vie de rêve, cette insouciance qu’on nous enlève,
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