Amsterdam
Lo Bailly
paroles Lo Bailly Amsterdam

Lo Bailly - Amsterdam Lyrics

Certains la préfèrent nocturne
Lorsqu'elle doit forcer le pli
Mais moi j'en suis tombé d'amour
Dimanche après-midi
Quand elle se lève de la veille
Qui fut bruyante d'éclat
Et des misérables qui harcèlent
Pour devenir son roi...

L'amour imparfait enfonce
Le ciel quand il est gris
Et quand les hommes renoncent
Aux brèves querelles sous la pluie
A la recherche des lagunes
On s'y noierait pourtant
Elle est belle, comme elle suinte
La friture et l'argent

Amsterdam est belle quand on la prend nonchalamment
Amsterdam entraîne les coeurs solistes doucement
Amsterdam, je perds mes heures et cours éperdument
Dans les rues qui m'emmènent d'un bout à l'autre de tes monuments
Amsterdam je t'aime encore, putain qu'est-ce que t'es belle
Pourquoi faire le tour du monde alors que tu m'appelles
Amsterdam ici ça va mais tu me manques souvent
A Bruxelles aussi le ciel gris nous berce, c'est pas la même pourtant
Mais faudra bien un jour, tu sais, faudra que ça s'arrête
Les hommes sont fous à se cogner le crâne contre leurs rêves
Ils remplissent l'attirail car la guerre amène l'hiver
Il n'y a qu'un être humain pour croire que l'bonheur, ça s'achète.

Il y a des ombres allumées
Les temples d'anciens temps
Et des maisons inclinées
Par les trois X et le vent
Maritimes arabesques
Ont rapporté leurs fruits
Et le long de grandes fresques
La belle douceur s'ensuit

Mais quand revient la lune
Se redessinent les courbes
Des plafonds les plus riches
Aux rideaux les plus rouges
Quand les ponts et les lettres
Ont leur plus belle odeur
Les fenêtres ouvertes
Aux grandes impudeurs...

Amsterdam est belle quand on la prend nonchalamment
Amsterdam entraîne les coeurs solistes doucement
Amsterdam, je perds mes heures et cours éperdument
Dans les rues qui m'emmènent d'un bout à l'autre de tes monuments
Amsterdam je t'aime encore, putain qu'est-ce que t'es belle
Pourquoi faire le tour du monde alors que tu m'appelles
Amsterdam ici ça va mais tu me manques souvent
A Bruxelles aussi le ciel gris nous berce, c'est pas la même pourtant
Mais faudra bien un jour, tu sais, faudra que ça s'arrête
Les hommes sont fous à se cogner le crâne contre leurs rêves
Ils remplissent l'attirail car la guerre amène l'hiver
Il n'y a qu'un être humain pour croire que l'bonheur, ça s'achète.


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