[ZEiD# (l'E.T)]
Et si les lâches nous crèvent, moi j'avance à plat-ventre
Ici, c'est marche ou rêve, mais ça marche pas : y'a pas de vente
Pas sur mon rap que tu pourras faire un pas de danse
Plaies sur mon art, ce qu'on crée, toujours très sale en apparence
Centaine de textes concrets, voilà c'qu'on a par an, et des assonances en insolence
Pas plus insolent qu'au Congrès, déferlante est la semence
Affolant ce qu'il gangrène, graine de mauvaise herbe
Mes centaines de mots réservent
Un bilan et des maux de tête
Pas un pilon, une démo peut-être
[LAZ']
Voici l’autiste gavé malin d’un haut level qui débarque
Non d’une soucoupe volante, mais sa rage se démarque
Ravage, te répare la musique, salement débile
Impatient à cause du monde, malade, tant sénile
Décime, débite mes rimes, garanti zéro salade, sans médire
Revenant des vacances, j’avise et vite, ma vérité balance, s’étire
Vivement qu’on s’en tire vu que souvent, tout s’empire
J’évite le vice, me volatilise, je vise ces bandes de vampires
[ZEiD#]
J’ai l’âme moribonde
Depuis que la mort abonde
J’attends que l’amour inonde
Tous ces putains de maux immondes
J’ai l’âme moribonde
Depuis que la mort abonde
J’attends que l’amour inonde
Tous ces putains de maux immondes
J’ai l’âme moribonde
Depuis que la mort abonde
J’attends que l’amour inonde
Tous ces putains de maux immondes
J’ai l’âme moribonde
Depuis que la mort abonde
J’attends que l’amour inonde
Tous ces putains de maux immondes
[ZEiD#]
Je puise mon eau de vie dans la fontaine, nan, c'est pas des fables
Quand on dévie, coule le fond de teint de bien des femmes
Une famille qui t'aime compte bien … plus, qu'être blindé de fans
Je reste indé’ face
Aux majors, leur top 50
Trop cinglante, ma plume sanglante
Si tu l'ôtes ?
Syncope…
Évidemment, désolé si je dévie, maman et la famille, les uns fautent
Les autres feintent, on mettra pas faim à la famine en regardant plus les infos
Moi je leur informe que ce monde est faux
Je suis pas pessimiste (nan, nan), juste réaliste, et c'est mon défaut
[LAZ']
Ça sature, l’on le sent, cela vide ma contenance
L’agencement de la fin du monde se lance
Je pense ; ce matin d’été s’étire lentement, semant
Sa sérénité, devant, d’un vent levant
Relent d’une rage pure, si virulent, m’élevant
Revenant, j’anime ton Q.I titubant, décevant
J’ai l’âme moribonde
Depuis que la mort abonde
J’attends que l’amour inonde
Tous ces putains de maux immondes
J’ai l’âme moribonde
Depuis que la mort abonde
J’attends que l’amour inonde
Tous ces putains de maux immondes
J’ai l’âme moribonde
Depuis que la mort abonde
J’attends que l’amour inonde
Tous ces putains de maux immondes
LAZ', E.T
Rap et mélodie
Pour faire résonner, vibrer tous ces maux qui grondent
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