Marie n'est pas une de ces filles qu'on s'accroche autour du bras
Qu'on pose là, qu'on couche là, qui danse quand il fait trop froid,
Mais ses yeux sont les mêmes ou de l'alcool.
Marie n'est pas une de ces filles qui s'attardent, qu'on retient,
Mais qu'ai-je dit, c'est tout tout l'inverse c'est elle qui vous revient,
Un soir alors que le sol s'abandonne.
Et je la vois, je la vois comme une flamme, une flamme,
La bruler sans fin entre les airs et les humeurs de l'ombre.
Et je la vois, je la vois comme une forêt,
Une forêt blanche ou chaque branche se promène, ou chaque branche se souvient.
Même pas (?), Je l'appelle encore.
Marie n'est pas une de ces filles qu'on oublie au petit matin,
Qu'on pose là, qu'on jette là, qu'on laisse sur le chemin,
Mais les roseaux ou les merles l'emportent,
Et je la vois, je la vois comme une flamme, une flamme,
La bruler sans fin entre les airs et les humeurs de l'ombre
Et je la vois, je la vois comme une forêt,
Une forêt blanche ou chaque branche se promène, ou chaque branche se souvient.
Même pas (?), Je l'appelle encore.
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