Aux accents du triomphe et de l'airain qui gronde
En proclamant sa liberté
La France invite enfin tous les peuples du monde
Au banquet de l’humanité :
Place aux enfants du prolétaire
Place aux conquérants de nos droits,
Le travail asservit la terre
Tous les travailleurs sont des rois !
Peuple ! ton règne enfin commence
Au nom de la fraternité
Travaillons à la renaissance
Des lois et de la liberté
Nous avons top souvent combattu pour nos maîtres,
Gardons le trône , il est à nous.
Les agents des partis, les flatteurs et les traîtres
Vont se trainer sur leurs genoux.
Ils voudraient nous voler encore
Le prix des larmes et su sang,
Mais, à la soif qui dévore,
Résistons en nous unissant !
Père de l'Univers, suprême intelligence
Bienfaiteur ignoré des aveugles mortels
Tu révélas ton être à la reconnaissance
Qui seule éleva les autels.
Ton temple est sur les monts, dans les airs, sur les ondes
Tu n'a point de passé, tu n'as point d'avenir
Et sans les occuper, tu remplis tous les mondes
Qui ne peuvent te contenir
Tout émane de toi, grande et première cause
Tout s'épure aux rayons de ta divinité
Sur ton culte immortel, la morale repose
Et sur les moeurs, la liberté.
Pour venger leur outrage et la gloire offensée
L'auguste liberté, ce fléau des pervers
Sortit au même instant de la vaste pensée
Avec le plan de l'univers.
Dieu puissant ! elle seule a vengé ton injure
De ton culte elle-même instruisant les mortels
Leva le voile épais qui couvrait la nature
Et vint absoudre tes autels.
O toi ! qui du néant ainsi qu'un étincelle
Fis jaillir dans les airs
L'astre éclatant du jour
Fais plus... verse en nos coeurs ta sagesse
Embrasse nous de ton amour.
De la haine des Rois, anime la Patrie
Chasse les vains désirs, l'injuste orgueil des rangs
Le luxe corrupteur la basse flatterie
Plus fatale que les tyrans.
Dissipe nos erreurs, rends nous bons, rends nous justes
Règne, règne au delà de toute illimité
Enchante la nature à tes décrets augustes
Laisse à l'homme sa liberté.
Ne nous reposons pas, nous avons tout à faire,
Et tout notre sang à verser !
Le plus cruel tyran, c'est l'infâme misère
Et c'est lui qu'il faut renverser
Aurions -nous vaincu pour l'intrigue,
Aurions -nous triomphé trois fois
Pour servir exécrable ligue
Des aristocrates bourgeois ?
Dissipe nos erreurs, rends nous bons, rends nous justes
Règne, règne au delà de toute illimité
Enchante la nature à tes décrets augustes
Laisse à l'homme sa liberté.
Assez de trahisons ! Le peuple enfin s'éveille
Pour vous combattre il va s'unir.
Il a su pardonner aux brigands qu'il surveille,
Ne le forcez pas à punir.
Tremblez, corrupteurs de la France,
Le peuple veut l'égalité !
Trop grand pour aimer la vengeance,
Il défendra sa liberté
Dissipe nos erreurs, rends nous bons, rends nous justes
Règne, règne au delà de toute illimité
Enchante la nature à tes décrets augustes
Laisse à l'homme sa liberté.
Refusons désormais l'aumône avilissante,
Plus de mendiants parmi nous !
C'est à nous de juger la richesse insolente
C'est aux voleurs d'être à genoux !
Le travail a ses invalides,
La vieillesse aura ses palais.
Silence aux préjugés stupides
Sous nos coups tombés à jamais.
Aux accents du triomphe et de l'airain qui gronde
En proclamant sa liberté
La France invite enfin tous les peuples du monde
Au banquet de l’humanité :
Place aux enfants du prolétaire
Place aux conquérants de nos droits,
Le travail asservit la terre
Tous les travailleurs sont des rois !
Peuple ! ton règne enfin commence
Au nom de la fraternité
Travaillons à la renaissance
Des lois et de la liberté
Nous avons top souvent combattu pour nos maîtres,
Gardons le trône , il est à nous.
Les agents des partis, les flatteurs et les traîtres
Vont se trainer sur leurs genoux.
Ils voudraient nous voler encore
Le prix des larmes et su sang,
Mais, à la soif qui dévore,
Résistons en nous unissant !
Père de l'Univers, suprême intelligence
Bienfaiteur ignoré des aveugles mortels
Tu révélas ton être à la reconnaissance
Qui seule éleva les autels.
Ton temple est sur les monts, dans les airs, sur les ondes
Tu n'a point de passé, tu n'as point d'avenir
Et sans les occuper, tu remplis tous les mondes
Qui ne peuvent te contenir
Tout émane de toi, grande et première cause
Tout s'épure aux rayons de ta divinité
Sur ton culte immortel, la morale repose
Et sur les moeurs, la liberté.
Pour venger leur outrage et la gloire offensée
L'auguste liberté, ce fléau des pervers
Sortit au même instant de la vaste pensée
Avec le plan de l'univers.
Dieu puissant ! elle seule a vengé ton injure
De ton culte elle-même instruisant les mortels
Leva le voile épais qui couvrait la nature
Et vint absoudre tes autels.
O toi ! qui du néant ainsi qu'un étincelle
Fis jaillir dans les airs
L'astre éclatant du jour
Fais plus... verse en nos coeurs ta sagesse
Embrasse nous de ton amour.
De la haine des Rois, anime la Patrie
Chasse les vains désirs, l'injuste orgueil des rangs
Le luxe corrupteur la basse flatterie
Plus fatale que les tyrans.
Dissipe nos erreurs, rends nous bons, rends nous justes
Règne, règne au delà de toute illimité
Enchante la nature à tes décrets augustes
Laisse à l'homme sa liberté.
Ne nous reposons pas, nous avons tout à faire,
Et tout notre sang à verser !
Le plus cruel tyran, c'est l'infâme misère
Et c'est lui qu'il faut renverser
Aurions -nous vaincu pour l'intrigue,
Aurions -nous triomphé trois fois
Pour servir exécrable ligue
Des aristocrates bourgeois ?
Dissipe nos erreurs, rends nous bons, rends nous justes
Règne, règne au delà de toute illimité
Enchante la nature à tes décrets augustes
Laisse à l'homme sa liberté.
Assez de trahisons ! Le peuple enfin s'éveille
Pour vous combattre il va s'unir.
Il a su pardonner aux brigands qu'il surveille,
Ne le forcez pas à punir.
Tremblez, corrupteurs de la France,
Le peuple veut l'égalité !
Trop grand pour aimer la vengeance,
Il défendra sa liberté
Dissipe nos erreurs, rends nous bons, rends nous justes
Règne, règne au delà de toute illimité
Enchante la nature à tes décrets augustes
Laisse à l'homme sa liberté.
Que le luxe et les arts enfantent des merveilles,
Le peuple est fait pour les aimer.
Le génie à nos fils va consacrer ses veilles,
La liberté va les former.
Armés d'un faisceau de lumière,
Cherchant des horizons nouveaux,
Nous crions :"A bas les chaumières !
Le peuple a conquis les chateaux !"
Aux accents du triomphe et de l'airain qui gronde
En proclamant sa liberté
La France invite enfin tous les peuples du monde
Au banquet de l’humanité :
Place aux enfants du prolétaire
Place aux conquérants de nos droits,
Le travail asservit la terre
Tous les travailleurs sont des rois !
Peuple ! ton règne enfin commence
Au nom de la fraternité
Travaillons à la renaissance
Des lois et de la liberté
Nous avons top souvent combattu pour nos maîtres,
Gardons le trône , il est à nous.
Les agents des partis, les flatteurs et les traîtres
Vont se trainer sur leurs genoux.
Ils voudraient nous voler encore
Le prix des larmes et su sang,
Mais, à la soif qui dévore,
Résistons en nous unissant !
Père de l'Univers, suprême intelligence
Bienfaiteur ignoré des aveugles mortels
Tu révélas ton être à la reconnaissance
Qui seule éleva les autels.
Ton temple est sur les monts, dans les airs, sur les ondes
Tu n'a point de passé, tu n'as point d'avenir
Et sans les occuper, tu remplis tous les mondes
Qui ne peuvent te contenir
Tout émane de toi, grande et première cause
Tout s'épure aux rayons de ta divinité
Sur ton culte immortel, la morale repose
Et sur les moeurs, la liberté.
Pour venger leur outrage et la gloire offensée
L'auguste liberté, ce fléau des pervers
Sortit au même instant de la vaste pensée
Avec le plan de l'univers.
Dieu puissant ! elle seule a vengé ton injure
De ton culte elle-même instruisant les mortels
Leva le voile épais qui couvrait la nature
Et vint absoudre tes autels.
O toi ! qui du néant ainsi qu'un étincelle
Fis jaillir dans les airs
L'astre éclatant du jour
Fais plus... verse en nos coeurs ta sagesse
Embrasse nous de ton amour.
De la haine des Rois, anime la Patrie
Chasse les vains désirs, l'injuste orgueil des rangs
Le luxe corrupteur la basse flatterie
Plus fatale que les tyrans.
Dissipe nos erreurs, rends nous bons, rends nous justes
Règne, règne au delà de toute illimité
Enchante la nature à tes décrets augustes
Laisse à l'homme sa liberté.
Ne nous reposons pas, nous avons tout à faire,
Et tout notre sang à verser !
Le plus cruel tyran, c'est l'infâme misère
Et c'est lui qu'il faut renverser
Aurions -nous vaincu pour l'intrigue,
Aurions -nous triomphé trois fois
Pour servir exécrable ligue
Des aristocrates bourgeois ?
Dissipe nos erreurs, rends nous bons, rends nous justes
Règne, règne au delà de toute illimité
Enchante la nature à tes décrets augustes
Laisse à l'homme sa liberté.
Assez de trahisons ! Le peuple enfin s'éveille
Pour vous combattre il va s'unir.
Il a su pardonner aux brigands qu'il surveille,
Ne le forcez pas à punir.
Tremblez, corrupteurs de la France,
Le peuple veut l'égalité !
Trop grand pour aimer la vengeance,
Il défendra sa liberté
Dissipe nos erreurs, rends nous bons, rends nous justes
Règne, règne au delà de toute illimité
Enchante la nature à tes décrets augustes
Laisse à l'homme sa liberté.
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