The Canadian Railroad Trilogy
Gordon Lightfoot
paroles Gordon Lightfoot The Canadian Railroad Trilogy

Gordon Lightfoot - The Canadian Railroad Trilogy Lyrics & Traduction

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There was a time in this fair land when the railroad did not run,
When the wild majestic mountains stood alone against the sun,
Long before the white man and long before the wheel,
When the green dark forest was too silent to be real.

But time has no beginnings and history has no bounds,
As to this verdant country they came from all around.
They sailed upon her waterways and they walked the forest tall,
Built the mines, mills, and the factories for the good of us all.

And when the young man's fancy was turnin' to the spring,
The railroad men grew restless for to hear the hammers ring.
Their minds were overflowing with the visions of their day,
And many a fortune lost and won and many a debt to pay.

For they looked to1 the future and what did they see?
They saw an iron road runnin' from the sea to the sea,
Bringin' the goods to a young growin' land
All up from the seaports and into their hand.

Look away said they across this mighty land,
From the eastern shore to the western strand.

Bring in workers and bring up the rails.
We gotta lay down tracks and tear up the trails.
Open yer2 heart, let the life blood flow.
Gotta get on our way 'cause we're movin' too slow.

Bring in workers and bring up the rails.
We're gonna lay down tracks and tear up the trails.
Open yer heart, let the life blood flow.
Gotta get on our way 'cause we're movin' too slow.
Get on our way 'cause we're movin' too slow.

Behind the blue Rockies the sun is declinin'.
The stars they come stealin' at the close of the day.
Across the wide prairie our loved ones lie sleeping
Beyond the dark oceans in a place far away.

We are the navvies who work upon the railway,
Swingin' our hammers in the bright blazin' sun,
Livin' on stew and drinkin' bad whiskey,
Bendin' our backs till the long days are done.

We are the navvies who work upon the railway,
Swingin' our hammers in the bright blazin' sun,
Layin' down track and buildin' the bridges,
Bendin' our backs till the railroad is done.

So over the mountains and over the plains,
Into the muskeg and into the rains,
Up the Saint Lawrence all the way to Gaspé,
Swingin' our hammers and drawin' our pay.

Layin' 'em in and tyin' 'em down,
Away to the bunkhouse and into the town,
A dollar a day and a place for my head,
A drink to the livin', a toast to the dead.

Oh the song of the future has been sung.
All the battles have been won.
On the mountaintops we stand,
All the world at our command.
We have opened up the soil
With our teardrops and our toil.

Oh there was a time in this fair land when the railroad did not run,
When the wild majestic mountains stood alone against the sun,
Long before the white man and long before the wheel,
When the green dark forest was too silent to be real.

When the green dark forest was too silent to be real.

And many are the dead men . . .
Too silent . . .
To be real.




Traduction The Canadian Railroad Trilogy - Gordon Lightfoot

Il était une fois dans cette belle lande quand les trains ne roulaient pas,
Quand les sauvages montagnes majestueuses se levaient seules contre le soleil,
Longtemps avant l'homme blanc et longtemps avant la roue,
Lorsque la forêt verte dans le noir était trop silencieuse pour être réelle.

Mais le temps ne connait pas de commencements et l'histoire ne connait pas de bornes,
Pendant qu'à ce pays verdâtre on s'y amenait de partout.
Ils faisaient voiles sur les voies fluviales et se promenaient dans l'haute forêt,
Construisaient les mines, les meuneries, et les usines pour le plus grand bien de nous tous.

Et au moment que les pensées du jeune homme se tournaient vers le printemps,
Les hommes des chemins de fer s'impatientaient pour entendre les marteaux sonner.
Leurs pensées débordaient avec des visions de leur époque,
Et nombreuses les fortunes perdues et gagnées et nombreuses les dettes à payer.

Car ils regardaient vers l'avenir et qu'est ce qu'ils ont vu?
Ils voyaient un chemin en fer se déferlant de la mer jusqu'à la mer,
Apportant les marchandises auprès du jeune pays en croissance,
Montant des ports de mer jusque dans leur main.

Regarde ailleurs, disaient-ils, sur toute cette lande puissante,
Du rivage de l'est jusqu'au rivage de l'ouest.

Apporte les travaillants et apporte les rails.
Il nous faut poser les voies à terre et arracher les pistes.
Ouvre ton coeur, laisse le sang de la vie couler.
Il nous faut reprendre la route parce que nous traînons la patte.

Apporte les travaillants et apporte les rails.
Nous allons poser les voies à terre et arracher les pistes.
Ouvre ton coeur, laisse le sang de la vie couler.
Il nous faut reprendre la route parce que nous traînons la patte.
Reprendre la route parce que nous traînons la patte.

Derrière les Rocheuses bleues le soleil s'incline.
Les étoiles parraissent au terme du jour.
À l'autre bord de la prairie nos bien-aimés s'endorment
Au delà des océans sombres dans un endroit lointain.

Nous sommes les terrassiers qui travaillent sur le chemin de fer,
Lançant nos marteaux sous le brillant soleil éclatant,
Vivant de ragoût et buvant de mauvais whiskey,
Pliant nos dos jusqu'au bout des jours longs.

Nous sommes les terrassiers qui travaillent sur le chemin de fer,
Lançant nos marteaux sous le brillant soleil éclatant,
Posant les voies et construisant les ponts,
Pliant nos dos jusqu'au bout du chemin de fer.

Donc par-dessus les montagnes et par-dessus les plaines,
En le muskeg et en les pluies,
En haut du Saint Laurent jusqu'au Gaspé,
Lançant nos marteaux et gagnant notre argent.

Les déposant à terre et les liant fermement,
Vers la chambre à coucher et en la ville,
Un dollar par jour et un endroit pour ma tête,
Une boisson pour les vivants, un toast pour les morts.

Ô la chanson de l'avenir a été chantée.
Toutes les batailles ont été gagnées.
Sur les sommets des montagnes nous nous dressons,
Toute la Terre est à notre service.
Nous avons ridé la terre
Avec nos larmes et notre besogne.

Ô il était une fois dans cette belle lande quand les trains ne roulaient pas,
Quand les sauvages montagnes majestueuses se levaient seules contre le soleil,
Longtemps avant l'homme blanc et longtemps avant la roue,
Lorsque la forêt verte dans le noir était trop silencieuse pour être réelle.

Lorsque la forêt verte dans le noir était trop silencieuse pour être réelle.

Et nombreux sont les hommes morts . . .
Trop silencieux . . .
Pour être réels.


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