Par un beau matin d’été, une none s’étonne
De trouver, sur son chemin, un vieil homme,
Uf’m Odiliebarri, esch e Schwechter
Uf’m Odiliebarri, kumm’t e Wunder
Il meurt de soif, il est faible, il bouillonne,
Elle le prend dans ses bras, l’aide en somme.
La none frappe la roche de sa crosse d’ivoire,
Une source d’eau fraiche en jaillit, ô gloire,
Le vieillard en bois, se sent mieux, plein d’espoir,
Et s’en va se reposer au couvent, jusqu’au soir.
Le lendemain, pour remercier les aimables sœurs,
Il leur offre un magnifique livre de riches Heures.
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