J'ai longtemps repoussé ce moment
Car j'ai peur de creuser
Ce sentiment de manque est si puissant.
Qu'il me faut l'oublier.
L'angoisse se joue de moi
Alors que je ne pense pas à toi.
Ton visage, ma seule force,
Depuis que t'es parti loin de moi.
Les fleurs ont toutes fanées
Depuis que mon cœur s'est noirci.
Les étincelles ne sont désormais
Plus qu'un lointain souvenir.
Cette atmosphère violente qui plane sur moi.
M'achève progressivement.
Je ne peut m'en détacher car dérivant moi je suis différent.
L'orage peut gronder au-dessus de moi.
Il n'atteindra pas mon âme.
J'ai tant d'amour à donner.
Pourtant moi jamais je n'en reçois.
Si les étoiles me comprennent, font briller sous elles.
Je me vois d'une rareté, d'une pureté.
En quête de passion et de joie.
Je pense bien, je pense fort, je pense loin,
je ressens fort autant pour moi que pour les miens.
Ce que je veux c'est trois fois rien.
J'ai laissé dans un tiroir toutes ces questions sur mon être.
J'ai la tête dur, le cœur fragile.
Assez pour noyer mes peines.
Moi je sais que l'enfer ce n'est pas les autres.
Ce n'est que ma mère
Je n'ai qu'un amour profond et vrai où je me sens bien.
Quand je pense trop peur ma mère.
On écrit le chagrin. J'écris le chagrin.
Mon cœur m'a tête se battent.
Trouverais-je un jour le calme.
Pour tout ce qui me fait mal.
Je sais qu'un jour tu viendras.
Mon cœur m'a tête se battent.
Trouverais-je un jour le calme.
Pour tout ce qui me fait mal.
Je sais qu'un jour tu viendras.
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