L’éternel est mon verger, et je ne manquerai de rien
Il me fait reposer dans des verts pâturages
Me dirige près des eaux paisibles
Il restaure mon âme, me conduit dans les sentiers de la justice
A cause de son nom, il ne m’a jamais oublié…
J’me rappelle quand j’étais seul, tout n’allait pas pour le mieux
Vivant malade, j’ai vu que l’important était l’amour de dieu
J’sais pas si t'as déjà vécu, un mois, nuits et jours au pieu
Allongé, malade, moi si j’peux t’dire que y a pas plus odieux
Le regard vide, l’âme en peine, lamentable, vit entre haine et tristesse
Laissant passer les heures, les jours, les s’maines comme un repris de justice
Tu crois que j’abuse p’têtre, mais j’te jure qu’ces mots sont juste, fils
J’ai vu cette, lumière qui m’a fait dire qu’il n’y avait qu’un juge ici
Depuis c’est elle qui guide mes pas
M’éloignant vite de tout ces gens stupides qui m’aimaient pas
Et ceux qui voulaient m’pousser au suicide, en m’ameutant
N’avait d’yeux que pour mon liquide
Croquant la cupidité a pleine dents, a en devenir livide
Paroles et vis a temps, l’ennemi attend
Et quand tu m’dis attend plus d’un tact protège ton esprit a temps
Tu entendras un jour son appel, une fois sauvé comme moi
Faudras que tu t’en rappelle
Laisse moi t’dire…
Quand la lumière s'est envolée
Que dans l'ombre tu savais plus ou aller
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié
Quand tu te sentais abandonnée
Que pour les tiens tu avais tout donné
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié
Crois pas qu’ceci est un sermon
On est pas a la messe
J’te parle avec le cœur, sincèrement
L’important est le message de paix
Pour les frères et les sœurs qu’on plus trop la foi en tes’
Besoin d’un médecin spirituel, bientôt la fin le temps presse
Ne voyez vous pas tous ces signes, de déclin sociaux sans cesse
Le climat s’empresse, tout détruire et trop d’gens s’font blesser
Ça rêve de cuir, de livre, le dollar pense qu’a s’engraisser
A l’allure ou ça vire j’dois dire j’vois pas d’avenir sans stresser..
Quand la lumière s'est envolée
Que dans l'ombre tu savais plus ou aller
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié
Quand tu te sentais abandonnée
Que pour les tiens tu avais tout donné
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié…
Vendredi, samedi, tu aura l’éternel
Lundi, mardi, écoutera ton paternel
Écoutes-moi quand j’dis que l’amour maternel
C’est plus beau que le bleu du ciel même pour le commun des mortels…
Vendredi, samedi, tu aura l’éternel
Lundi, mardi, écoutera ton paternel
Écoutes-moi quand j’dis que l’amour maternel
C’est plus beau que le bleu du ciel même pour le commun des mortels…
Quand la lumière s'est envolée
Que dans l'ombre tu savais plus ou aller
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié
Quand tu te sentais abandonnée
Que pour les tiens tu avais tout donné
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié...
Quand la lumière s'est envolée
Que dans l'ombre tu savais plus ou aller
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié
Quand tu te sentais abandonnée
Que pour les tiens tu avais tout donné
Sache qu'il ne t'a jamais oublié, sache qu'il ne t'a jamais oublié...
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