Encore une soirée d'passée
Encore un verre de vide
Nos deux corps s’aperçoivent vide
Qu'on avait tout pour s'attacher [tâcher]
Comme ton lit qui grince
Où l'on s’allongeait nu pendant des heures,
Au début c'était un quart d'heure à la fin ça sera pour la...
On vivait la nuit pour ne plus voir le jour, les voisins se plaignant du vacarme
Je m'accroche à la vie, je m'accroche à ta bouche oubliant tout les soucis qui m'acablent
Je regardais la lune,
Encore un soir de plus,
Bercer par son crépuscule,
J'roulais plus vite que de raison décidément
Une idylle ancrée dans les âges où l'on,
Vivait au septième étage ou bon,
rimait souvent avec mal quand le plaisir des corps qui se mêlent était flamboyant,
Allonger dans la ville en pensant que,
Plus rien ne m'anime je pense à toi,
J'ai fusé, j'ai tisé du haut des toits
J'ai fusé, j'ai tisé, j'ai vu l'étoile
Tu m'appelais souvent tu ne voulais pas de trêve,
Tu voulais seulement entendre ma voix
En fascination devant ton corps de braise,
On se devait de conserver la flamme
Younss
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