Plus les années défilent, moins je comprends les choses
Moins je trouve les réponses, aux questions qui se posent
Le temps m’a alors dit, et puis fanent les roses
Des pensées qu’on croit sûres, et d’autres s’y opposent
Alors je viens poser, sur la tienne ma bouche
C’est la seule vérité, nos lèvres qui se touchent
Je ne fuis plus l’orage, j’ai l’envie d’en découdre
Les fleurs se fanent sur le rivage, mais pour mieux me dissoudre
D’alcool et de paysages, je distille le jour
J’alambique les nuages, dévêtu par la foudre
Surtout ne pas mourir, sans la fièvre du jour
Les couchers sur la mer, à raviver l’amour
Nous manquer bien des limbes et des longs puits sans fond
Car les dieux et l’Olympe, n’auront jamais raison
Ils n’ont envies les froids, de connaitre le temps
De n’avoir qu’une seule fois, pour nous rendre vivant
Je ne fuis plus l’orage, j’ai l’envie d’en découdre
Les fleurs se fanent sur le rivage, mais pour mieux me dissoudre
D’alcool et de paysages, je distille le jour
J’alambique les nuages, dévêtu par la foudre
Je ne fuis plus l’orage, j’ai l’envie d’en découdre
Les fleurs se fanent sur le rivage, mais pour mieux me dissoudre
D’alcool et de paysages, je distille le jour
J’alambique les nuages, dévêtu par la foudre
Je ne fuis plus l’orage, j’ai l’envie d’en découdre
Les fleurs se fanent sur le rivage, mais pour mieux me dissoudre
D’alcool et de paysages, je distille le jour
J’alambique les nuages, dévêtu par la foudre
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