[Eden Dillinger]
Ressers-moi un thé vert
Que je te parle de mes rêves
Ces derniers sont enfoui dans le désert
Violence à la maison
Le bonheur dans la misère
La plus belle à mes yeux
La lumière tamisée
Misée-Misée, mes rêves dans la Tamise
Mon reflet me dit "Voici sur quel cheval t'as misé"
Coincé dans les abysses, je mène ma vie seul
Si seul, donc j'attends des heures l'hivers
Adieu, elle m'a laissée le bouquet final
Contenant des mots de mort et des fleurs qui saignent
Ainsi qu'un suçon en forme de cœur brisé
Chérie, oh ton, regard flanche
C'est bien, pire qu'un, jeu d'argent
Thé vert, chauffe et, je t'attend
Thé vert, brûle et, tu me manques
[Eden Dillinger]
Chérie, la chance n'a pas tourné donc on fera sans
Chérie, la vie n'fait pas d'cadeau comme un père absent
Chérie, dans mes souvenirs tu m'dis d'aller de l'avant
Chérie, s'te plaît, ressers l'thé vert, rajoute de la menthe
[Tengo John]
J'aimerais tellement savoir un jour
Si c'est reparti pour un tour
J'aimerais tellement savoir un jour
Si c'est reparti pour un tour
[Tengo John]
La boucle est bouclée
La foule écoute mes couplets
J'ai mis les bouchées doubles
Quand tout s'écroulait
J'ai d'la souplesse
La coupe est tout près
J'suis au sous sol comme Bruce Wayne
J'me sers d'ma fougue comme bouclier aux moments couperets
Surréaliste comme Dali
J'fume et j'habite à Paris
Je rêve de l'île de Bali et d'la voix magique de Kali
Aussi de Juliane (Reinecke)
De Puglia de fuschia vif
J'suis comme un hooligan en furia à Furiani
Laisse moi, me remplir d'espoir
J'déploie mes ailes et paraît qu'elles sont d'anciennes gloires
Seul dans le ciel, seum démentiel dans ma trajectoire
Mes larmes se mêlent à c'qu'on appelle la poussière d'étoile
Dis moi qui peux contrôler mes pulsions
Souvent la séduction c'est de l'attraction répulsion
Nos corps en éruption, nos cœurs font irruption
Nos esprits en fusion se diluent dans nos illusions
[Tengo John]
J'aimerais tellement savoir un jour
Si c'est reparti pour un tour
J'aimerais tellement savoir un jour
Si c'est reparti pour un tour
[Eden Dillinger]
Madame me demande des preuves d'amour
Le ciel est gris comme le visage d'un mort
La pluie sur le bitume ravive la mémoire
Et mes battements de cœur lui parlent en morse
Déteste les maths, je sèche les cours du soir
Retrouve les problèmes dans les courbes d'une femme
Sur l'offensive comme Maradona
Après ça je n'aurai plus d'amour à donner
Le temps se ralentit, joue de l'ocarina
Et moi j'aime ses yeux bleus comme Séto Kaiba
Hey, oh, baby, bouge
Je sais que le diable porte du vernis rouge
Restons calme, car c'est d'hier qu'on parle
Elle veut de l'attention et c'est pas la mer à boire
Nostalgique d'amer émois, on dit que l'amour est mort
Alors je vivrais avec un cœur de pierre tombale
[Eden Dillinger]
Chérie, la chance n'a pas tourné donc on fera sans
Chérie, la vie n'fait pas d'cadeau comme un père absent
Chérie, dans mes souvenirs tu m'dis d'aller de l'avant
Chérie, s'te plaît, ressers l'thé vert, rajoute de la menthe
[Tengo John]
J'aimerais tellement savoir un jour
Si c'est reparti pour un tour
J'aimerais tellement savoir un jour
Si c'est reparti pour un tour
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