Ambiance années 80, juste t'faire kiffer ça
Me dit pas le nom du traitre, j'sais très bien qui fait ça
J'prends le dernier métro, qui s'enfonces sous terre
J'en prends toujours, mais trop, et je termine en l'air
Y'en a jamais assez… on va s'laisser aller
Sur un tube des années 70 (70)
C'est fort, personne n'a cet effet là
Et je sors, la Lune bleue est là
Seulement 3 nuits par semaines (3 nuits par semaines)
Ça change d'la relation d'avant, j'ai perdu mon temps
J'ai comblé mon manque, pas b'soin d'billets de banque
(J'ai comblé mon manque, pas b'soin d'billets de banque)
En plus du piano, ajoutes les mélos
C'est dans la cuisine, qu'on fait les meilleures choses
J'veux voir seulement les sentiments qui sont les tiens
J'veux pas que tu caches c'que tu penses l'air de rien
J'te d'mande juste d'me regarder
Après ça on peut s'oublier
J'suis comme Tetris j'me case là où j'peux
Un coup d'fusil, et j'lui dis adieu (et j'lui dis adieu)
On r'prends les hostilités, sous fond d'humilité
Tester la fiabilité, cramer l'humanité
Et merde à ma lâcheté, si elle est morte elle l'aura mérité
Les putes se servent sans demander, y'a plus de système d'équité (woa)
Le coup part… BAM, jamais loupé
J'suis le coup le plus rusé qu'le diable ait jamais réussi
Mon sort n'est pas tracé, j'étais pas destiné à arriver ici
Quand elle veut ouvrir Netflix, moi j'veux vivre sans FX
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