[Rymz]
Fait un bout de temps je voulais que tu saches qu'avant toi j'étais dans ce cul-de-sac
Je sais pas à qui tu ressembles, peut-être tu le sens que c'était plus qu'un coup de chance
Tant de choses futiles que reste t'il après les confettis
Temps que tes bras détiennent la solution de ce monde compliqué
Pourquoi mentir ? Je peux rien garantir donc pas le temps de ralentir
La fleur que j'aime s'en tire, est sauvage comme un tigre
Elle danse dans ma lentille, brûle mon âme entier
T'es le poison que je préfère
Sachant chaque goutte de pluie
Unique et incomprise comme l'univers
Peut-être c'est kitch, reste qu'on c'est pas lâcher
Depuis le premier kiss je t'admire danser sur la piste
Et je dis cheers à tout nos été tristes
T'es ma complice, le porte-bonheur que je garde même au cœur de l'orage
Étant ta couleur vive sur mon asphalte, petite fleure sauvage
[Ingrid St-Pierre]
Je connais part cœur tes failles et tes ombrages
Je brille à tes peurs, je boirais tes orages
A ta peau j’affleure, est dans mon sillage
Je panse ta douleur, je panse ta douleur
Je panse ta douleur, je panse ta douleur
Je panse ta douleur, je panse ta douleur
[Rymz]
Petite fleur, please, rien ne sert de courir
Je veux vivre à me tuer, mais still, je suis trop fou pour mourir
Peut-être notre dernière nuit, qui c'est, le monde entier pour cible
Trop de feeling, trop de rêves et le temps file trop vite donc on fait l'impossible
Fast life comme Gilles Villeneuve, putain j'ai hâte qu'il pleuve
Qu'on s'achète une vie neuve
Brille baby girl, brille, le soleil rend aveugle
Y a des bouts tough, y a des bouts drôles
Sur ses pommettes y a des gouttes d'eaux
On écoute peu sauf les coups de feux
Et le mot love est un couteau
Mon obscurité s'étant, ta lumière refuse de s'éteindre
Tu m'éloigne des bras de Satan, je m'étant dans des draps de satins
Ta coloré mon ciel en deuil, le cœur en deux quand j'pleure de rage
L'enfer m'aura avec sur moi l'odeur d'une petite fleur sauvage
[Ingrid St-Pierre]
Je connais part cœur tes failles et tes ombrages
Je brille à tes peurs, je boirai tes orages
A ta peau j'affleure, et dans mon sillage
Je panse ta douleur, je panse ta douleur
Dans l'étreinte où je rêve que tes bras me retiennent
Je préfère le soleil tes élans torrentielles
Et ma soif s'étanche, avec toi à ciel ouvert
Mes racines s'épanchent à ta cité lumière
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