Rotterdames – « Paradis Perdu »
Auteur : Antoine BOISSEAU-DECOUX
Une larme coule dans le noir,
Ton nom résonne c’est mon créneau
Qui me rattrape tôt ou tard,
La brume caresse les vagues,
J’essaie de fuir mes défauts,
Mes démons sont sortis ce soir,
Le compte à r’bours a commencé
Les heures défilent et je ne peux
Imaginer ton secret,
C’est un travail de longue haleine,
J’ai du prendre quelques Long Islands
Pour transformer l’amour en haine
Je tourne en rond et me souviens que mes idées t’ont incité
À toucher l’fond et l’air de rien il est trop tard j’suis enchainé
Et déjà mon cœur s’emballe et je suis,
Devant toi comme un parfait inconnu,
D’un seul geste tu ravives mes appétits,
Tu es là mon paradis perdu
La pluie se met à tomber, je me cogne et me débats,
Les sirènes ont révélé
Ce dernier souffle abandonné, pourrait être un jour mon combat,
Ma rage s’est réveillée
Je tourne en rond et me souviens que mes idées t’ont incité
À toucher l’fond et l’air de rien il est trop tard j’suis enchainé
Et déjà mon cœur s’emballe et je suis,
Devant toi comme un parfait inconnu,
D’un seul geste tu ravives mes appétits,
Tu es là mon paradis perdu
Tu es là mon paradis perdu, tu es là…
Et déjà mon cœur s’emballe et je suis,
Devant toi comme un parfait inconnu,
D’un seul geste tu ravives mes appétits,
Tu es là mon paradis perdu
Et déjà mon cœur s’emballe et je suis,
Devant toi comme un parfait inconnu,
D’un seul geste tu ravives mes appétits,
Tu es là mon paradis perdu
Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)