Je marche le long des rues
Au milieu des inconnus
Dans les jardins de la vie
Pas plus gros qu'une fourmi
J'ai envie de fuir ce monde en colère
Dans ce labyrinthe où je me perds
Comme un courant d'air
Je cherche la vérité
Dans les murs de la cité
Je ne vois pas de sortie
Que des murs à l'infini
J'ai besoin d'espoir comme une prière
Quand le paradis devient l'enfer
Tout le monde à la mer
Et les Dieux dont tu parles où ils sont
Et les Dieux dont tu parles qu'est-ce qu'ils font
Dis leur qu'ils pensent un peu à nous
Un peu c'est pas beaucoup
Et les Dieux dont tu parles où ils sont
Et les Dieux dont tu parles qu'est-ce qu'ils font
Dis leur qu'ils pensent un peu à nous
Pour eux c'est rien du tout
Sous les néons du néant
Je suis prisonnier du temps
Derrière les grilles de mon coeur
Prisonnier de mon bonheur
J'ai besoin de suivre le monde à l'envers
Dans ce labyrinthe où je me perds
Comme un courant d'air
Je rêve de liberté
Dans les rues du monde entier
La seule issue de secours
C'est encore le grand amour
J'ai besoin d'aimer comme une prière
Quand le paradis devient l'enfer
Tout le monde à la mer
Et les Dieux dont tu parles où ils sont
Et les Dieux dont tu parles qu'est-ce qu'ils font
Dis leur qu'ils pensent un peu à nous
Un peu c'est pas beaucoup
Et les Dieux dont tu parles où ils sont
Et les Dieux dont tu parles qu'est-ce qu'ils font
Dis leur qu'ils pensent un peu à nous
Pour eux c'est rien du tout
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