Je valse, je vais, je viens au vent de la vie
Avouant ma convoitise avec envie
Et modestie
Pour toi ma belle
Mon émoi chancelle
Quand je t'appelle
Gabriela
Je valse, je vais, je viens buvant mon vin
Révélant une vapeur qui me convainc
Je te rejoins
Pour toi ma belle
Mon émoi chancelle
Quand je t'appelle
Gabriela
A ton oreille je sens, m'émerveille et sans
Aucun doute je goûte ma déroute
A ton oreille je (me) sens un soleil d'un sang
Qui réveille les sens : ton essence
Je valse, je vais, je viens et je vacille
A l'ivresse du vertige de tes pupilles
Qui me fusillent
Pour toi ma belle
Mon émoi chancelle
Quand je t'appelle
Gabriela
Je valse, je vais, je viens voyant la horde
De vils vassaux asservis à tes ordres
Miséricorde
Pour toi ma belle
Mon émoi chancelle
Quand je t'appelle
Gabriela
Et c'est à pas de loup que je pars jaloux
De tes partisans suffisants
Il reste cette ballade, manifeste palabre
Poésie inutile d'une langue que tu n'entends pas
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