Fais gaffe barre toi de là, surtout prend ta Juliette
Protège la bien de ces branques à lunette
Mais non t'économises pour ta transe annuelle
On ne t'offre rien d'autre donc tu manges ta purée
Metadonnées jusque dans ta prunelle
J'suis un poison dans l'eau comme Tentacruel
Troque un semblant de défonce contre ta mort naturelle
Les monstres engendrent des monstres, voilà Pantagruel
Laisse ta chambre allumée qu'on te repère
Ignore ces blondes de merdes contrefaites
Les hommes s'endorment quand le monde se lève
Annihilent toute victoire par la honte de perdre
La mine encapuchée kiffe comme quand t'as tué
Tu penses qu'à fumer, tu pleures quand t'as plus d'herbe
T'inquiète j'ignore aussi c'qui s'passe dans ma ruelle
On ira lyncher ce PD d'ange Samuel
Je regarde la lune avec mes frères les cerfs
Cesse tes faux combats, allez laisse faire les vrais
J'espère mais je sais que c'est la fin
Aspire l'âme des séraphins
J'bouffe tout mais là j'ai pas faim
J'ai ravalé la haine pour l'après
J'jette la caisse dans l'ravin
Mange ton Noël sans sapin, testament dans l'calpin
J'crève avant mon larçin
J'voudrais un bras robotique
On m'dit qu'c'est pas trop possible
T'hésites entre régime et macrobiotique
Ou sucer des armes biologiques
Lobotomie pour les plus conciliants
Ils sont résignés n'attendent plus résilience
T'es un voyou, bien sûr c'est évident
Mais il ne se passera rien en bas de ta résidence
Fais gaffe barre toi de là, surtout prend ta Juliette
Protège la bien de ces branques à lunette
Mais non t'économises pour ta transe annuelle
On ne t'offre rien d'autre donc tu manges ta purée
Metadonnées jusque dans ta prunelle
J'suis un poison dans l'eau comme Tentacruel
Troque un semblant de défonce contre ta mort naturelle
Les monstres engendrent des monstres, voilà Pantagruel
J'mord le détraqueur au visage
Que des détracteurs au village
Leur haine me pousse au pillage
Leurs femmes me poussent au pinage
Vinasse comme mirage irradie les récoltes
Miroitent les décolletés sous lumières des époques
Raviver les mégots puis réduire les efforts
C'est très fort et le rien fusille dans les écoles
L'ivresse dort encore allons nous amuser
Chiens soumis aux porcs prennent des coups dans le museaux
Comme tout Albatros j'ai les ailes dans l'mazout
Sans tabous à la longue même le sexe est usant
Le ciel est tout azimut, je reste assidu, l'Eden je suis assis dessus
Le prophète prédit tout ce qui n'arrive plus, rien dans l'attitude je demeure taciturne
Même à la fac je rêvais de prof absent
Pour toutes ces années dont j'ai perdu parfum
Un parent mort ça reste un mort parent
Et j'ai trouvé la faille, je ne baise plus ma main
Je ne perds plus ma voix pour ces ombres qui marchent
Le haut de l'iceberg est un sombre pinacle
On te niquera et c'est pas vraiment drôle
"Tu testes la LICRA ? Mais t'es taré Jean-Claude"
J'étripe les anciens, v'là le trip sous acide
Des dieux tout rassis, des succubes sans seins
Lugubre enceinte pour un meeting solaire
Cercueil congelé histoire d'y vivre au frais
Lifting offert par la maison mère
Les fourrures de phoque ça fait lever ton zgeg
Ils ont prêtés allégeance au malsain et ils se parfument à la laitance de marsouin
Quelle aisance mon lapin mais tu te feras dépecer
Je goba tes yeuz à l'heure du déjeuner
Esseulé, je sais ce que c'est, je parle avec mes rres-ve
L'ère de R mes yeux verts prônent un monde dépeuplé
Et on s'en branle Manuel, range ta truelle
Elle est inutile quand arrive la ruée
De cette engeance cruelle par les sanglants tunnels
Il dévore le monde voilà Pantagruel
Fais gaffe barre toi de là, surtout prend ta Juliette
Protège la bien de ces branques à lunette
Mais non t'économises pour ta transe annuelle
On ne t'offre rien d'autre donc tu manges ta purée
Metadonnées jusque dans ta prunelle
J'suis un poison dans l'eau comme Tentacruel
Troque un semblant de défonce contre ta mort naturelle
Les monstres engendrent des monstres, voilà Pantagruel
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