Je ne connais pas pays plus tendre
Que ces rivages, ce val immense
Où je me plante
Si je l’ai chérie jusqu’à la trouver nue
C’est qu’elle a mon âme
Car si je ride encore les rues de ma ville
Comprends qu’on n’oublie pas ses rêves indélébiles
Et si je traîne encore le soir dans les bars
C’est que chaque verre efface un peu son image
Je ne connais pas plus doux mirage
Que ses méandres, ce goût amer
Quand elle me plante
Si elle est partie et qu’on s’est trouvé nu
Repeins mon âme
Car si je pleure encore les rues de ma ville
Comprends qu’on n’oublie pas ses rêves indélébiles
Et si je tangue encore le soir dans les bars
C’est que chaque verre efface un peu son image
Je ne connais pas pays plus tendre Que ces rivages, ce val immense
Où je me plante
Si je l’ai chérie jusqu’à la trouver nue
C’est qu’elle a mon âme
(CANON)
Car si je ride encore les rues de ma ville
Comprends qu’on n’oublie pas ses rêves indélébiles
Et si je traîne encore le soir dans les bars
C’est que chaque verre efface un peu son image
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