C’est la fin des années 60, la télé a pris des couleurs.
Hara Kiri remonte la pente, « Salut les Copains », les Rockers.
Dans notre cité de Marseille, des anciens et nouveaux visages
Dans nos quartiers, tout est pareil, le printemps n’est plus aux mirages.
Ne restons pas assis, sur les bancs du lycée.
De quoi demain sera fait, si on ne l’a pas choisi.
Qui pourrait nous dire notre avenir.
Qui peut savoir ce qu’on va devenir.
On devra réagir… On devra réagir…
Qui pourrait nous dire notre avenir (Tous nos rêves et tous nos espoirs)
Qui peut savoir ce qu’on va devenir. (Ont besoin d’un nouveau départ)
On devra réagir… (Au son des guitares)
On devra réagir… (Nous ferons l’Histoire.)
Rien n’est certain pour ce futur, que nos parents nous ont promis.
Il faut se serrer la ceinture, notre argent de poche s’évanouit.
Doit-on craindre d’être oubliés, devons-nous rester méconnus ?
Doit-on combattre nos idées, puisque le temps est révolu ?
Ne restons pas assis, sur les bancs du lycée.
De quoi demain sera fait, si on ne l’a pas choisi.
Qui pourrait nous dire notre avenir (Tous nos rêves et tous nos espoirs)
Qui peut savoir ce qu’on va devenir. (Ont besoin d’un nouveau départ)
On devra réagir… (Au son des guitares)
On devra réagir… (Nous ferons l’Histoire.)
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