Un mois de mars bien inquiétant, L’arrestation vue comme un drame
Des étudiants manifestant, Contre la guerre du Viêt Nam
En occupant la Faculté, La plus prisée, celle de Nanterre
Les jeunes gens voulaient montrer, Qu’ils ne vont pas se laisser faire.
La colère monte et les rues s’enflamment.
Le tonnerre gronde et dans ce vacarme,
Sur toutes les ondes, ce qu’ils réclament,
C’est le décompte, pour un monde sans arme.
Mais le Doyen a répliqué, Contre l’anti-impérialisme.
En protégeant la Faculté, Pour éviter le vandalisme.
Tous les locaux ont été fermés, C’est la révolte que l’on bâillonne.
Au lieu du calme, on vît flamber, Quartier Latin et la Sorbonne.
La France entière est concernée, Les ouvriers protestent aussi.
Marre de De Gaulle et de Debré, Au cri de « 10 ans ça suffit ».
On va tout droit, c’est un scandale, C’est une purge, c’est la chienlit.
Vers une grève générale, Vers le blocage du pays.
La colère monte et les rues s’enflamment.
Le tonnerre gronde et dans ce vacarme,
Sur toutes les ondes, ce qu’ils réclament,
C’est le décompte, pour un monde sans arme.
( solo)
La colère monte et les rues s’enflamment.
Le tonnerre gronde et dans ce vacarme,
Sur toutes les ondes, ce qu’ils réclament,
C’est le décompte, pour un monde sans arme.
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