Cachés aux confins du désert, où nul homme jamais ne se perd, des murs que l'on veut épais
Protègent les basses pulsions d'une société, esquisse d'un procès, sur un air de jugement dernier
Antichambre de l'enfer, angoissants, des ombres errent, regard vide teint blafard, perdus et hagards
Connaissant leurs destins, côtoyant leurs assassins, l'homme qui sans un regard, donne la mort au hasard
Submergé par la honte, la terreur, sentiments qui remontent, sombres douleurs
Trahi J'ai peur du vide
Meurtri Soit mon guide si j'accepte ce suicide
Que vaut ton existence, toute ta vie tu es
Banni Fixe mon prix
Dans l'oubli Que coûte ce poison qui me sera servi
Et ces murs de silence de mépris qui brisent ton cri J'ai peur du vide
Injectant dans tes veines cette justice fluide, vengeance bras du bourreau, deviendra son guide
Perdus et hagards, n'étant plus que les fantômes d'eux-mêmes, guettant la poudre de mort
Au hasard, que le vent la sème.
Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)