Pour l'alcool et les somnifères,
les matins pâles aux goûts amer,
pour le chaos, pour la colère,
pour le sentiment d'abondon,
les coups de griffes aux illusions,
les années envolées, pardon.
L'homme que tu serrais dans tes bras,
et dont tu épousais les pas,
cet homme ce n'étais pas moi.
Je n'étais pas fais pour toi,
seulement, je ne le savais pas,
pardon, je ne le savais pas.
Pardon, d'avoir mis tant de temps,
pour me rendre à cette évidence,
et pardon, d'aller de l'avant,
mais rester n'aurait aucun sens.
Quand chaque larme aura seché,
chaque pourquoi cicatrisé,
dans quelques mois, quelques années,
si tu veux alors m'écouter,
je te dirais je t'ai aimé,
mais ne pouvais taimer assez.
Je t'ai aimé comme on étouffe,
a bout d'idée, a bout de souffle,
les deux pieds juste au bord du gouffre,
tu n'étais pas faite pour moi,
seulement, tu ne le savais pas,
pardon, tu ne le savais pas.
Pardon, d'avoir mis tant de temps,
pour me rendre à cette évidence,
et pardon, d'aller de l'avant,
mais rester n'avait aucun sens.
Pardon, d'avoir mis tant de temps,
pour me rendre a cette évidence,
et pardon d'aller de l'avant,
mais rester n'avait aucun sens.
Pour l'alcool et les somnifères,
les matins pâles aux goûts amer,
pour le chaos, pour la colère,
pour le sentiment d'abondon,
les coups de griffes aux illusions,
les années envolées,
pardon.
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