Les hommes étaient lassés des inégalités,
Leur ventre criait famine,
Leurs fils mouraient de froid.
Les mains saisirent les fourches et le cœur armé,
A la Bastille vinrent quelque peu maladroits
Ils réclamaient justice, liberté et droits,
De vivre des moments dans l'amour et l'honneur,
Mais trop vite dépassés, ils n'ont pas eu le choix
Et ont du accepter de vivre dans la terreur.
Pour la liberté,
La fraternité,
Pour l'égalité
Et nos droits !
Ils ont pourtant signé ce si précieux décret
Dictant les droits de l'homme et de tout citoyen,
L'enjeu était énorme, mais il reste à prouver
Sa réelle existence dans ce monde de terriens.
Voilà qu'on te fête à chaque mi-juillet !
Mais tu te fais coquette pour ne pas trop pâlir
Au souvenir des têtes qui furent décapitées
J'arrête mes sornettes, mais tu peux les relire :
Pour la liberté,
La fraternité,
Pour l'égalité
Et nos droits !
Les hommes étaient lassés des inégalités,
Leur ventre criait famine,
Leurs fils mouraient de froid,
Leurs fils mouraient de froid,
Leurs fils mouraient de froid !
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