Comme un ciel de tempête a violé la saison
J'ai laissé nos discours me voiler ma raison
Comme une évidence accidentelle
J'ai cru lire dans ton iris glacée, mon nom
Un amour dément des mots et de nos démons
Vivre de prose et de Vittel
Si seulement , si seulement
Toi, le mal aimé
Tu m'entendais tu m'entendais
Mais
C'est sans compter sur la Comtesse
Quand son nom blesse ta noblesse
C'est sans compter sur la Renarde
En brise glace sur le miroir qui te regarde
Que vole l'ange en poussière
Dans l'ombre de Cécile
Que vole en éclat notre affaire
De crystal en péril
De mise en cage en misanthrope
Elle parle et tu t'inclines
C'est l'isotope du psychotrope
Qui t'a rendu docile
”Si jamais”, m'étais-je dit “peut-être qu'en Mai
T'embarquerais le long des lignes de mon cahier
Pour un duel épistolaire
Si seulement, si seulement
Tu te souvenais
Que je t'attends, que je t'attends
Mais
C'est sans compter sur la Comtesse
Quand son nom blesse ta noblesse
C'est sans compter sur la Renarde
En brise glace sur le miroir qui te regarde
Dans l'alcool le signe s'efface
Ô ta saison mentale
Reste une trace qui terrasse
Ô mon ombre fatale
Quand tout te lie, le blow, le blanc
Et l'épouse infernale
Je te sens, le pauvre Lélian
Devenir trop banal
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